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Catégorie Arts graphiques
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externesn°28 (2023:automne) - 2023-10-12 (Bulletin de Actuel de l'estampe contemporaine)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 27876 ACTUEL Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
Titre : 12.16 - 2016-12-12 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Langues : Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Arts graphiques
GraphistesIndex. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : With our new issue of novum we bring a bit of color to these grey autumn days. A shimmering Pantone color on the cover of this issue designed by Des Signes draws attention to our novum+ topic: Wayfinding. Inside readers will find a lot of interesting orientation and wayfinding systems as well as great design studios from all around the world. And don't miss our Christmas prize draw with fantastic gifts – for yourself or your loved ones.
novum 12.16 is also available for 8,99 Euro as PDF
The print issue is available at: www.novum.graphics
In our current issue readers will find a feature on the winners of this years Red Dot Award, as well as great editorial design projects by Raquel Rei from Portugal. We present Onogrit from Cologne, the Polish creatives of Punkt Widzenia and the German studio Frau. Our readers can also look forward to our Christmas prize draw with lots of nice and useful gifts for designers.
This months novum+ focuses on »way-finding«. Find out more about small and large orientation systems that teach a lot about flexibility and creativity. The studios we present are: Greco Design (BRA), Makebardo (NLZ), das Mainstudio (NLD), 22Quadrat (GER), Holmes Wood (GBR) sowie Des Signes (FRA).
The paper
For the cover of this issue we used the uncoated paper Pergraphica Rough in High White, 300 gsm. Paper samples available at Papier Union (musterservice@papierunion.de).
www.mondigroup.com
www.papierunion.de
The design of the cover
Sometimes you can't see the wood for the trees – unfortunately that quite often applies to way-finding systems too. Hundreds of signs, arrows and markings, the only thing you can't find is the thing you are looking for. The French design studio Des Signes interpreted this nuisance in a humorous way and uses bold colors and a shimmering silver (Pantone 877) to create a strong design.
www.des-signes.fr
Content
novum+
IIIDAward
Greco Design (BRA)
Makebardo (NZL)
Mainstudio (NDL)
22Quadrat (GER)
Holmes Wood (GBR)
Des Signes (FRA)
showroom
Red Dot Award
Onogrit (GER)
Raquel Rei (POR)
Punkt Widzenia (POL)
Studio Frau (GER)
Cover design: Des Signes (FRA)
Paper: Pergraphica High White, 300 gsm von Mondi, available at Papier Union
Printfinishing: Pantone 877
Offset printing: F&W Druck- und Mediencenter GmbHEn ligne : http://novum.graphics/en/magazine/current-issue/detail/novum-1216/ [n° ou bulletin] 12.16 - 2016-12-12 [texte imprimé] . - 2016.
Langues : Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Arts graphiques
GraphistesIndex. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : With our new issue of novum we bring a bit of color to these grey autumn days. A shimmering Pantone color on the cover of this issue designed by Des Signes draws attention to our novum+ topic: Wayfinding. Inside readers will find a lot of interesting orientation and wayfinding systems as well as great design studios from all around the world. And don't miss our Christmas prize draw with fantastic gifts – for yourself or your loved ones.
novum 12.16 is also available for 8,99 Euro as PDF
The print issue is available at: www.novum.graphics
In our current issue readers will find a feature on the winners of this years Red Dot Award, as well as great editorial design projects by Raquel Rei from Portugal. We present Onogrit from Cologne, the Polish creatives of Punkt Widzenia and the German studio Frau. Our readers can also look forward to our Christmas prize draw with lots of nice and useful gifts for designers.
This months novum+ focuses on »way-finding«. Find out more about small and large orientation systems that teach a lot about flexibility and creativity. The studios we present are: Greco Design (BRA), Makebardo (NLZ), das Mainstudio (NLD), 22Quadrat (GER), Holmes Wood (GBR) sowie Des Signes (FRA).
The paper
For the cover of this issue we used the uncoated paper Pergraphica Rough in High White, 300 gsm. Paper samples available at Papier Union (musterservice@papierunion.de).
www.mondigroup.com
www.papierunion.de
The design of the cover
Sometimes you can't see the wood for the trees – unfortunately that quite often applies to way-finding systems too. Hundreds of signs, arrows and markings, the only thing you can't find is the thing you are looking for. The French design studio Des Signes interpreted this nuisance in a humorous way and uses bold colors and a shimmering silver (Pantone 877) to create a strong design.
www.des-signes.fr
Content
novum+
IIIDAward
Greco Design (BRA)
Makebardo (NZL)
Mainstudio (NDL)
22Quadrat (GER)
Holmes Wood (GBR)
Des Signes (FRA)
showroom
Red Dot Award
Onogrit (GER)
Raquel Rei (POR)
Punkt Widzenia (POL)
Studio Frau (GER)
Cover design: Des Signes (FRA)
Paper: Pergraphica High White, 300 gsm von Mondi, available at Papier Union
Printfinishing: Pantone 877
Offset printing: F&W Druck- und Mediencenter GmbHEn ligne : http://novum.graphics/en/magazine/current-issue/detail/novum-1216/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 20557 Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
Titre : no222:(2014:nov./déc.) - 01/11/2014 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Comme le rite initiatique, le moment du diplôme marque le passage entre une période vouée à l’acquisition des connaissances et une autre dédiée à leur application. Dans les sociétés primitives comme dans les écoles d’art, cette transition ne correspond pas pour autant à une cessation de l’apprentissage, dont chacun admettra qu’il a avantage à se parfaire tout au long de la vie d’adulte. Elle est une frontière entre un monde où l’expérimentation, l’erreur, la remise en cause, la destruction
sont encouragées, et un univers dans lequel la maîtrise des compétences et le contrôle de soi constituent des jalons essentiels. Chez l’apprenti chamane, il convient de se mettre en danger. L’instruction théorique traditionnelle est couplée à une pratique extatique où le délire, la transe, la maladie sont autant de moyens pour parvenir à la connaissance de soi. Plus grande sera cette déchéance, plus la force du chamane (grâce à la maîtrise qui s’ensuit) sera distinguée. Lors de la table ronde “(Comment) Faut-il enseigner le design graphique ?” organisée durant le Festival international de l’affiche et du design graphique de Chaumont, Annelys De Vet, directrice du département design au Sandberg Instituut, soulevait cette dichotomie entre instruction théorique et renaissance par la transgression. Elle proposait une vision de l’enseignement par l’infection, au cours de laquelle les étudiants doivent s’autocontaminer pour apprendre à guérir, s’immuniser et parvenir à la connaissance de soi. La sélection de diplômes issus des écoles d’art peut être regardée sous le prisme de ce parallélisme : comme autant de rites initiatiques qui permettent au jeune designer d’apporter des remèdes à ses maladies héritées de nos sociétés.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISYEn ligne : http://etapes.com/etapes-222 [n° ou bulletin] no222:(2014:nov./déc.) - 01/11/2014 [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Comme le rite initiatique, le moment du diplôme marque le passage entre une période vouée à l’acquisition des connaissances et une autre dédiée à leur application. Dans les sociétés primitives comme dans les écoles d’art, cette transition ne correspond pas pour autant à une cessation de l’apprentissage, dont chacun admettra qu’il a avantage à se parfaire tout au long de la vie d’adulte. Elle est une frontière entre un monde où l’expérimentation, l’erreur, la remise en cause, la destruction
sont encouragées, et un univers dans lequel la maîtrise des compétences et le contrôle de soi constituent des jalons essentiels. Chez l’apprenti chamane, il convient de se mettre en danger. L’instruction théorique traditionnelle est couplée à une pratique extatique où le délire, la transe, la maladie sont autant de moyens pour parvenir à la connaissance de soi. Plus grande sera cette déchéance, plus la force du chamane (grâce à la maîtrise qui s’ensuit) sera distinguée. Lors de la table ronde “(Comment) Faut-il enseigner le design graphique ?” organisée durant le Festival international de l’affiche et du design graphique de Chaumont, Annelys De Vet, directrice du département design au Sandberg Instituut, soulevait cette dichotomie entre instruction théorique et renaissance par la transgression. Elle proposait une vision de l’enseignement par l’infection, au cours de laquelle les étudiants doivent s’autocontaminer pour apprendre à guérir, s’immuniser et parvenir à la connaissance de soi. La sélection de diplômes issus des écoles d’art peut être regardée sous le prisme de ce parallélisme : comme autant de rites initiatiques qui permettent au jeune designer d’apporter des remèdes à ses maladies héritées de nos sociétés.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISYEn ligne : http://etapes.com/etapes-222 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 18457 ETAPES Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Exclu du prêt
Titre : no.220(2014:juil./août) - 2014-07-01 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Alors que tous les indicateurs semblaient montrer que la société dans laquelle nous évoluons tendait chaque jour vers un peu plus d’individualisme, le foisonnement des initiatives collaboratives et solidaires apparaît comme salvateur. Y aurait-il eu une déchirure, un craquement, dans la solide toile tissée entre le monde du travail, la société de consommation et la mise en concurrence des individus qui en découle ? À la rédaction du magazine We Demain, on nous explique que le système avait sans doute atteint son paroxysme dans l’exploitation des ressources ou dans la hiérarchisation verticale de la société, et que la crise aurait ouvert une brèche : celle d’une nouvelle époque. Un “demain” qui s’appuie déjà sur les démarches d’une frange de la population, adeptes du DIY, hackers ou fabricants, les makers, pour reprendre le titre de l’ouvrage de Chris Anderson. Ils ont fait le choix de vivre mieux avec moins et plus lentement, grâce aux ressources locales, davantage connectés avec leur environnement et leurs voisins. Les acteurs économiques et l’État commencent à suivre ces mouvements avec intérêt. Dans les fab labs, grâce à l’Open Source, à la licence Creative Commons ou au Web 2.0, les designers ont, en premier chef, une place à se frayer dans cette société émergente. Nous avons tenté dans ces pages de recenser les initiatives, les pratiques ouvertes et collaboratives de ceux qui, consciemment ou non, ont déjà entrouvert le chemin d’un futur partagé.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISY
[n° ou bulletin] no.220(2014:juil./août) - 2014-07-01 [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Alors que tous les indicateurs semblaient montrer que la société dans laquelle nous évoluons tendait chaque jour vers un peu plus d’individualisme, le foisonnement des initiatives collaboratives et solidaires apparaît comme salvateur. Y aurait-il eu une déchirure, un craquement, dans la solide toile tissée entre le monde du travail, la société de consommation et la mise en concurrence des individus qui en découle ? À la rédaction du magazine We Demain, on nous explique que le système avait sans doute atteint son paroxysme dans l’exploitation des ressources ou dans la hiérarchisation verticale de la société, et que la crise aurait ouvert une brèche : celle d’une nouvelle époque. Un “demain” qui s’appuie déjà sur les démarches d’une frange de la population, adeptes du DIY, hackers ou fabricants, les makers, pour reprendre le titre de l’ouvrage de Chris Anderson. Ils ont fait le choix de vivre mieux avec moins et plus lentement, grâce aux ressources locales, davantage connectés avec leur environnement et leurs voisins. Les acteurs économiques et l’État commencent à suivre ces mouvements avec intérêt. Dans les fab labs, grâce à l’Open Source, à la licence Creative Commons ou au Web 2.0, les designers ont, en premier chef, une place à se frayer dans cette société émergente. Nous avons tenté dans ces pages de recenser les initiatives, les pratiques ouvertes et collaboratives de ceux qui, consciemment ou non, ont déjà entrouvert le chemin d’un futur partagé.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISY
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 18363 Etapes Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
Titre : no.218(2014:mars/avril) - 2014-03-01 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Toute technologie suffisamment avancée se confond avec la magie. En ces quelques mots, l’écrivain de science-fiction Isaac Asimov résumait les liens entre la fiction et l’innovation.
L’impression 3D, les biotechnologies, le numérique, pour ne citer que quelques exemples significatifs, modifient notre société en profondeur et définissent les outils contemporains des designers. Le graphiste, qui s’interroge aux problèmes du monde à venir et entrevoit les contraintes futures, participe à ce projet.
Avec un dossier consacré à la fiction et à l’anticipation, Étapes dresse les liens entre l’avenir que dessine l’innovation et l’affection de l’image fictionnelle pour la technologie. Car la spéculation est une affaire sérieuse… nous sommes ici loin des petits hommes verts et autres visions hasardeuses. Genre initié dans les années 1930, la science-fiction a aujourd’hui une histoire ; une histoire ponctuée de formes avant-gardistes, mais aussi d’approximations, et parfois de scénarios des plus grotesques. L’angoisse, la crainte de l’avenir sont souvent les moteurs de tels fantasmes. A regarder en arrière, on comprend aujourd’hui que ce sont les visions enthousiastes qui se sont imposées. La streamline de Norman Bel Geddes, la gestion des flux de circulation, le développement des communications à distance…
Designer de meubles et d’intérieurs futuristes, Verner Panton affirmait l’homme est l’élément central, plaçant ainsi l’humanisme comme la condition sine qua non du design et de la foi dans la technologie. Arrière, technophobes et prédicateurs alarmistes !
En écho à la manière dont Google est susceptible de prévoir l’avenir grâce aux statistiques de recherche, nous savons désormais que le futur se prépare dans nos esprits, nos angoisses, nos croyances… nos pensées. Avant de tuer dans l’oeuf tout idéalisme, sous prétexte que la pratique est sujette à de dangereuses dérives, interrogeonsnous sur ce que serait un monde dépourvu de pensée utopiste et laissons-nous l’opportunité d’amorcer un cercle vertueux.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISY[n° ou bulletin] no.218(2014:mars/avril) - 2014-03-01 [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
Catégories : Arts graphiques Index. décimale : 766 Arts graphiques Résumé : Toute technologie suffisamment avancée se confond avec la magie. En ces quelques mots, l’écrivain de science-fiction Isaac Asimov résumait les liens entre la fiction et l’innovation.
L’impression 3D, les biotechnologies, le numérique, pour ne citer que quelques exemples significatifs, modifient notre société en profondeur et définissent les outils contemporains des designers. Le graphiste, qui s’interroge aux problèmes du monde à venir et entrevoit les contraintes futures, participe à ce projet.
Avec un dossier consacré à la fiction et à l’anticipation, Étapes dresse les liens entre l’avenir que dessine l’innovation et l’affection de l’image fictionnelle pour la technologie. Car la spéculation est une affaire sérieuse… nous sommes ici loin des petits hommes verts et autres visions hasardeuses. Genre initié dans les années 1930, la science-fiction a aujourd’hui une histoire ; une histoire ponctuée de formes avant-gardistes, mais aussi d’approximations, et parfois de scénarios des plus grotesques. L’angoisse, la crainte de l’avenir sont souvent les moteurs de tels fantasmes. A regarder en arrière, on comprend aujourd’hui que ce sont les visions enthousiastes qui se sont imposées. La streamline de Norman Bel Geddes, la gestion des flux de circulation, le développement des communications à distance…
Designer de meubles et d’intérieurs futuristes, Verner Panton affirmait l’homme est l’élément central, plaçant ainsi l’humanisme comme la condition sine qua non du design et de la foi dans la technologie. Arrière, technophobes et prédicateurs alarmistes !
En écho à la manière dont Google est susceptible de prévoir l’avenir grâce aux statistiques de recherche, nous savons désormais que le futur se prépare dans nos esprits, nos angoisses, nos croyances… nos pensées. Avant de tuer dans l’oeuf tout idéalisme, sous prétexte que la pratique est sujette à de dangereuses dérives, interrogeonsnous sur ce que serait un monde dépourvu de pensée utopiste et laissons-nous l’opportunité d’amorcer un cercle vertueux.
PAR CAROLINE BOUIGE & ISABELLE MOISYRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 18178 Etapes Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
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