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Jean Prouvé. Berlinde De Bruyckere. Panamarenko |
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N°540(2025 ; février) - 2025-02-01 - Jean Prouvé. Berlinde De Bruyckere. Panamarenko [texte imprimé] . - 2025. Langues : Français (fre)
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SL 28224 | Arts Antiques Auctions Collect | Fascicule | ESA Saint-Luc | Beaux-Arts - Biblio | Disponible |
Dépouillements


Berlinde De Bruyckere : un phénomène / Ben Herremans in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°540(2025 ; février) (2025-02-01)
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[article]
Titre : Berlinde De Bruyckere : un phénomène Type de document : texte imprimé Auteurs : Ben Herremans, Auteur Année de publication : 2025 Langues : Français (fre) Catégories : De Bruyckere, Berlinde (1964-....) -- Entretiens
Femmes sculpteurs -- Belgique -- 21e siècle
Installations (art) -- Belgique -- 21e siècleIndex. décimale : 7.039(092) Artistes contemporains Résumé : ie et mort, amour et souffrance, brutalité et tendresse, promesse et apocalypse, beauté et laideur, lourdeur et légèreté, drame et consolation, rapprochement et déchirement, dans son œuvre, Berlinde De Bruyckere accumule les paradoxes. Alors qu’elle prépare une grande exposition à Bozar, COLLECT s’est entretenu avec un couple de collectionneur, la directrice des expositions de l’institution, la commissaire de l’exposition, mais aussi avec l’artiste en personne. Pour ou contre Berlinde De Bruyckere ? « On ne peut pas aimer mon œuvre juste un peu. »
TEXTE : Ben Herremans
Deux corps partageant une tranche de vie
C’est en 2019 que l’artiste réalisait Deux Corps, œuvre qui représente deux troncs d’arbre dans un placard. Les troncs sont attachés par un morceau de corde, ensemble et solidairement du placard, ouvert à l’avant et fermé à l’arrière. L’intérieur est revêtu de papier peint. Les collectionneurs Philippe le Hodey et son épouse Béatrice de Liedekerke l’ont acquise à l’occasion de leur anniversaire de mariage. Philippe le Hodey : « L’œuvre était exposée en 2021, à la TEFAF de Maastricht. Comme nous n’avions pas beaucoup de temps, nous avons décidé de visiter le salon chacun de son côté et chacun à son rythme. J’emmagasine les images très vitre, Béatrice s’attarde davantage, absorbe l’art de manière plus méditative. Une seule œuvre nous a précisément marqués. Nous ne savions pas à l’époque qu’elle s’appelait Deux Corps. Elle semblait représenter un couple demeuré ensemble pour la vie et ayant fondé une famille. Le placard représente la maison dans laquelle il vit.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/ongecategoriseerd-fr/berlinde-de-bruyckere-un-pheno [...]
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01)[article] Berlinde De Bruyckere : un phénomène [texte imprimé] / Ben Herremans, Auteur . - 2025.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01)
Catégories : De Bruyckere, Berlinde (1964-....) -- Entretiens
Femmes sculpteurs -- Belgique -- 21e siècle
Installations (art) -- Belgique -- 21e siècleIndex. décimale : 7.039(092) Artistes contemporains Résumé : ie et mort, amour et souffrance, brutalité et tendresse, promesse et apocalypse, beauté et laideur, lourdeur et légèreté, drame et consolation, rapprochement et déchirement, dans son œuvre, Berlinde De Bruyckere accumule les paradoxes. Alors qu’elle prépare une grande exposition à Bozar, COLLECT s’est entretenu avec un couple de collectionneur, la directrice des expositions de l’institution, la commissaire de l’exposition, mais aussi avec l’artiste en personne. Pour ou contre Berlinde De Bruyckere ? « On ne peut pas aimer mon œuvre juste un peu. »
TEXTE : Ben Herremans
Deux corps partageant une tranche de vie
C’est en 2019 que l’artiste réalisait Deux Corps, œuvre qui représente deux troncs d’arbre dans un placard. Les troncs sont attachés par un morceau de corde, ensemble et solidairement du placard, ouvert à l’avant et fermé à l’arrière. L’intérieur est revêtu de papier peint. Les collectionneurs Philippe le Hodey et son épouse Béatrice de Liedekerke l’ont acquise à l’occasion de leur anniversaire de mariage. Philippe le Hodey : « L’œuvre était exposée en 2021, à la TEFAF de Maastricht. Comme nous n’avions pas beaucoup de temps, nous avons décidé de visiter le salon chacun de son côté et chacun à son rythme. J’emmagasine les images très vitre, Béatrice s’attarde davantage, absorbe l’art de manière plus méditative. Une seule œuvre nous a précisément marqués. Nous ne savions pas à l’époque qu’elle s’appelait Deux Corps. Elle semblait représenter un couple demeuré ensemble pour la vie et ayant fondé une famille. Le placard représente la maison dans laquelle il vit.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/ongecategoriseerd-fr/berlinde-de-bruyckere-un-pheno [...] Samuel van Hoogstraten : l’illusionniste / Bernadette Van Der Goes in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°540(2025 ; février) (2025-02-01)
[article]
Titre : Samuel van Hoogstraten : l’illusionniste Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernadette Van Der Goes, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 28-33 Langues : Français (fre) Catégories : Portraits (peinture) baroques -- Pays-Bas -- 17e siècle
Rembrandt (1606-1669) -- Influence
Trompe-l'oeil (peinture) -- Pays-Bas -- 17e siècleIndex. décimale : 75(092) Peintres Résumé : Le peintre Samuel van Hoogstraten souhaitait illustrer tout ce qu’il voyait et connaissait. La totalité du monde, mais sans qu’il soit possible de distinguer son œuvre de la réalité. Grâce à ses tableaux illusionnistes, il parvint même à duper l’empereur d’Autriche.
TEXTE : Bernadette van der Goe
Samuel van Hoogstraten (1627-1678) avait environ quinze ans lorsque, en 1642 ou 1643, il entrait comme apprenti chez Rembrandt, à Amsterdam. Alors tout juste âgé de vingt ans, ce dernier était déjà connu comme peintre d’histoire et portraitiste. Durant l’été 1642, il avait achevé son chef-d’œuvre, La Ronde de Nuit. Né à Dordrecht, Samuel van Hoogstraten avait appris, au cours des années précédentes, les rudiments de la peinture avec son père, l’orfèvre et peintre Dirck van Hoogstraten, puis fréquenté l’école latine. Chez Rembrandt, il souhaitait améliorer ses compétences et imiter sa façon réaliste de peindre. Un excellent choix pour un apprenti ambitieux, car Rembrandt était déjà à l’époque célèbre au-delà des frontières des Pays-Bas. A la fin de sa vie, dans son livre sur la peinture, l’artiste ‘‘ornemental’’ que fut Van Hoogstraten qualifiait, Rembrandt d’ingénieux, de créatif et de révolutionnaire. De ce maître, en sus des compétences techniques, il apprit la théorie de l’art. Il se souvint qu’il était un apprenti assidu qui n’aimait pas voir reconnaître ses erreurs et se mettait parfois à pleurer quand il échouait dans son travail. Rembrandt lui disait alors de ne pas se montrer aussi impatient et de tout simplement réessayer. Il vécut environ quatre ans chez Rembrandt à Amsterdam, y travaillant probablement comme apprenti dans l’atelier, avant de retourner à Dordrecht.
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 28-33[article] Samuel van Hoogstraten : l’illusionniste [texte imprimé] / Bernadette Van Der Goes, Auteur . - 2025 . - P. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 28-33
Catégories : Portraits (peinture) baroques -- Pays-Bas -- 17e siècle
Rembrandt (1606-1669) -- Influence
Trompe-l'oeil (peinture) -- Pays-Bas -- 17e siècleIndex. décimale : 75(092) Peintres Résumé : Le peintre Samuel van Hoogstraten souhaitait illustrer tout ce qu’il voyait et connaissait. La totalité du monde, mais sans qu’il soit possible de distinguer son œuvre de la réalité. Grâce à ses tableaux illusionnistes, il parvint même à duper l’empereur d’Autriche.
TEXTE : Bernadette van der Goe
Samuel van Hoogstraten (1627-1678) avait environ quinze ans lorsque, en 1642 ou 1643, il entrait comme apprenti chez Rembrandt, à Amsterdam. Alors tout juste âgé de vingt ans, ce dernier était déjà connu comme peintre d’histoire et portraitiste. Durant l’été 1642, il avait achevé son chef-d’œuvre, La Ronde de Nuit. Né à Dordrecht, Samuel van Hoogstraten avait appris, au cours des années précédentes, les rudiments de la peinture avec son père, l’orfèvre et peintre Dirck van Hoogstraten, puis fréquenté l’école latine. Chez Rembrandt, il souhaitait améliorer ses compétences et imiter sa façon réaliste de peindre. Un excellent choix pour un apprenti ambitieux, car Rembrandt était déjà à l’époque célèbre au-delà des frontières des Pays-Bas. A la fin de sa vie, dans son livre sur la peinture, l’artiste ‘‘ornemental’’ que fut Van Hoogstraten qualifiait, Rembrandt d’ingénieux, de créatif et de révolutionnaire. De ce maître, en sus des compétences techniques, il apprit la théorie de l’art. Il se souvint qu’il était un apprenti assidu qui n’aimait pas voir reconnaître ses erreurs et se mettait parfois à pleurer quand il échouait dans son travail. Rembrandt lui disait alors de ne pas se montrer aussi impatient et de tout simplement réessayer. Il vécut environ quatre ans chez Rembrandt à Amsterdam, y travaillant probablement comme apprenti dans l’atelier, avant de retourner à Dordrecht.Panamarenko : au royaume des machines volantes, les multiples s’envolent / Gwennaëlle Gribaumont in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°540(2025 ; février) (2025-02-01)
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[article]
Titre : Panamarenko : au royaume des machines volantes, les multiples s’envolent Type de document : texte imprimé Auteurs : Gwennaëlle Gribaumont, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 68-71 Langues : Français (fre) Catégories : Aérodynamique -- Dans l'art -- Belgique -- 20e siècle
Aérodynamique -- Dans l'art -- Belgique -- 21e siècle
Art -- Commerce -- Belgique -- 21e siècle
Art conceptuel -- Belgique -- 20e siècle
Art conceptuel -- Belgique -- 21e siècle
Panamarenko (1940-2019)
Sculpture -- Belgique -- 20e siècle
Sculpture -- Belgique -- 21e siècleIndex. décimale : 73(092) Sculpteurs Résumé : Visionnaire, fantasque et résolument iconoclaste, Panamarenko a imaginé un univers unique où la mécanique rencontre la poésie. Ses créations, machines volantes, tapis magiques, sous-marins et objets hybrides tout droit échappés du laboratoire d’un savant fou, cachent, derrière leur apparente fantaisie, une réflexion rigoureuse sur les limites humaines et les moyens de les dépasser.
TEXTE : Gwennaëlle Gribaumont
Dans l’œuvre de Henri Van Herwegen, dit Panamarenko (1940-2019), voler ne relève pas seulement de la quête obstinée de transcender les lois terrestres, mais devient une métaphore de l’émancipation, un élan vers l’infini. Chaque mécanisme, savamment dessiné, devient la composante d’un récit plus vaste : une allégorie de la liberté et de l’imagination. Sa rencontre, en 1966, avec Joseph Beuys fut déterminante en ce qu’elle ancra sa pratique dans le champ de l’art tout en lui conférant une dimension philosophique. Dès lors, Panamarenko a poursuivi son rêve avec une ténacité ludique, donnant naissance à des objets qui, bien que techniquement réalisables, paraissent voués à exister dans un espace onirique, où le possible et l’impossible se confondent. Aujourd’hui, l’héritage de Panamarenko est celui d’un philosophe des étoiles, d’un inventeur-poète qui nous rappelle que la curiosité et le jeu sont des forces essentielles pour réinventer notre regard sur le monde. À travers ses constructions, souvent spectaculaires, il nous invite à redécouvrir l’émerveillement, qualité rare et précieuse qui, selon lui, constitue le véritable moteur de la création humaine. En 2025, la Fondation Panamarenko célèbre le 85ᵉ anniversaire de la naissance de l’artiste avec une série d’expositions à travers la Belgique (KMSKA, M HKA et Centre culturel Scharpoord de Knokke-Heist).En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/visiter/au-royaume-des-machines-volantes-les-multip [...]
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 68-71[article] Panamarenko : au royaume des machines volantes, les multiples s’envolent [texte imprimé] / Gwennaëlle Gribaumont, Auteur . - 2025 . - P. 68-71.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 68-71
Catégories : Aérodynamique -- Dans l'art -- Belgique -- 20e siècle
Aérodynamique -- Dans l'art -- Belgique -- 21e siècle
Art -- Commerce -- Belgique -- 21e siècle
Art conceptuel -- Belgique -- 20e siècle
Art conceptuel -- Belgique -- 21e siècle
Panamarenko (1940-2019)
Sculpture -- Belgique -- 20e siècle
Sculpture -- Belgique -- 21e siècleIndex. décimale : 73(092) Sculpteurs Résumé : Visionnaire, fantasque et résolument iconoclaste, Panamarenko a imaginé un univers unique où la mécanique rencontre la poésie. Ses créations, machines volantes, tapis magiques, sous-marins et objets hybrides tout droit échappés du laboratoire d’un savant fou, cachent, derrière leur apparente fantaisie, une réflexion rigoureuse sur les limites humaines et les moyens de les dépasser.
TEXTE : Gwennaëlle Gribaumont
Dans l’œuvre de Henri Van Herwegen, dit Panamarenko (1940-2019), voler ne relève pas seulement de la quête obstinée de transcender les lois terrestres, mais devient une métaphore de l’émancipation, un élan vers l’infini. Chaque mécanisme, savamment dessiné, devient la composante d’un récit plus vaste : une allégorie de la liberté et de l’imagination. Sa rencontre, en 1966, avec Joseph Beuys fut déterminante en ce qu’elle ancra sa pratique dans le champ de l’art tout en lui conférant une dimension philosophique. Dès lors, Panamarenko a poursuivi son rêve avec une ténacité ludique, donnant naissance à des objets qui, bien que techniquement réalisables, paraissent voués à exister dans un espace onirique, où le possible et l’impossible se confondent. Aujourd’hui, l’héritage de Panamarenko est celui d’un philosophe des étoiles, d’un inventeur-poète qui nous rappelle que la curiosité et le jeu sont des forces essentielles pour réinventer notre regard sur le monde. À travers ses constructions, souvent spectaculaires, il nous invite à redécouvrir l’émerveillement, qualité rare et précieuse qui, selon lui, constitue le véritable moteur de la création humaine. En 2025, la Fondation Panamarenko célèbre le 85ᵉ anniversaire de la naissance de l’artiste avec une série d’expositions à travers la Belgique (KMSKA, M HKA et Centre culturel Scharpoord de Knokke-Heist).En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/visiter/au-royaume-des-machines-volantes-les-multip [...] Jean Prouvé: un rêve de métal et de bois / Christophe Dosogne in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°540(2025 ; février) (2025-02-01)
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[article]
Titre : Jean Prouvé: un rêve de métal et de bois Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Dosogne, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 74-77 Langues : Français (fre) Catégories : Design -- Commerce -- 21e siècle
Meubles en bois -- Design -- 20e siècle
Meubles métalliques -- Design -- 20e siècle
Prouvé, Jean (1901-1984)Index. décimale : 7.05(092) Designers Note de contenu : Jean Prouvé, voilà un nom qui fait rêver les amateurs de design d’exception ! Figure emblématique de l’aventure moderniste au XXe siècle, celui qui fut à la fois architecte, constructeur et designer a trouvé son inspiration dans le métal. Célèbre pour sa méthode révolutionnaire dans la conception de meubles et de structures par l’utilisation de matériaux industriels, il séduit les nouvelles générations et bénéficie d’une cote au beau fixe.
TEXTE : Christophe Dosogne
L’œuvre unique de Jean Prouvé (1901-1984) se distingue par une esthétique fonctionnelle, usant principalement de matériaux industriels comme l’acier et l’aluminium. Elle englobe presque tout ce qui peut être construit et usiné, du coupe-papier aux ferrures de portes et de fenêtres, en passant par les luminaires, meubles, maisons préfabriquées et systèmes de construction modulaire. Grand défenseur des méthodes de production industrielle, le créateur a notamment utilisé des pièces de tôle pour fabriquer du mobilier. Tout au long de sa carrière, il a ainsi testé et expérimenté de nouvelles matières, de nouvelles techniques, de nouveaux composants, parvenant dans de nombreux travaux à marier ses attentes du point de vue de la fonctionnalité, de l’adéquation du matériau et de l’économie aux exigences complexes d’une production en série. Emboutie, pliée, nervurée et soudée, la tôle d’acier a ainsi trouvé chez lui un usage mobilier et architectural puisqu’il est parvenu à tirer des qualités du métal quantité de trouvailles ingénieuses telles que coques, sheds, portiques, béquilles ou murs rideaux qui ont fait sa renommée.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/design/jean-prouve-un-reve-de-metal-et-de-bois/
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 74-77[article] Jean Prouvé: un rêve de métal et de bois [texte imprimé] / Christophe Dosogne, Auteur . - 2025 . - P. 74-77.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°540(2025 ; février) (2025-02-01) . - P. 74-77
Catégories : Design -- Commerce -- 21e siècle
Meubles en bois -- Design -- 20e siècle
Meubles métalliques -- Design -- 20e siècle
Prouvé, Jean (1901-1984)Index. décimale : 7.05(092) Designers Note de contenu : Jean Prouvé, voilà un nom qui fait rêver les amateurs de design d’exception ! Figure emblématique de l’aventure moderniste au XXe siècle, celui qui fut à la fois architecte, constructeur et designer a trouvé son inspiration dans le métal. Célèbre pour sa méthode révolutionnaire dans la conception de meubles et de structures par l’utilisation de matériaux industriels, il séduit les nouvelles générations et bénéficie d’une cote au beau fixe.
TEXTE : Christophe Dosogne
L’œuvre unique de Jean Prouvé (1901-1984) se distingue par une esthétique fonctionnelle, usant principalement de matériaux industriels comme l’acier et l’aluminium. Elle englobe presque tout ce qui peut être construit et usiné, du coupe-papier aux ferrures de portes et de fenêtres, en passant par les luminaires, meubles, maisons préfabriquées et systèmes de construction modulaire. Grand défenseur des méthodes de production industrielle, le créateur a notamment utilisé des pièces de tôle pour fabriquer du mobilier. Tout au long de sa carrière, il a ainsi testé et expérimenté de nouvelles matières, de nouvelles techniques, de nouveaux composants, parvenant dans de nombreux travaux à marier ses attentes du point de vue de la fonctionnalité, de l’adéquation du matériau et de l’économie aux exigences complexes d’une production en série. Emboutie, pliée, nervurée et soudée, la tôle d’acier a ainsi trouvé chez lui un usage mobilier et architectural puisqu’il est parvenu à tirer des qualités du métal quantité de trouvailles ingénieuses telles que coques, sheds, portiques, béquilles ou murs rideaux qui ont fait sa renommée.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/design/jean-prouve-un-reve-de-metal-et-de-bois/