| Titre : |
Trois carrés rouges sur fond noir : Roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Tonino Benacquista (1961-....), Auteur |
| Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
| Année de publication : |
DL 1999, cop. 1990 |
| Collection : |
Folio. Policier |
| Sous-collection : |
Policier num. 49 |
| Importance : |
1 vol. (234 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-040798-9 |
| Prix : |
28 FRF |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Benacquista, Tonino (1961-....) Roman policier
|
| Index. décimale : |
888 Pour ma pause |
| Résumé : |
"- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur...
Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue." |
Trois carrés rouges sur fond noir : Roman [texte imprimé] / Tonino Benacquista (1961-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, DL 1999, cop. 1990 . - 1 vol. (234 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio. Policier. Policier; 49) . ISBN : 978-2-07-040798-9 : 28 FRF Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Benacquista, Tonino (1961-....) Roman policier
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| Index. décimale : |
888 Pour ma pause |
| Résumé : |
"- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur...
Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue." |
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