ESA SAINT-LUC LIEGE BIBLIOTHEQUE
ACCES COMPTE LECTEUR :
à la demande via l'adresse mail de la bibliothèque.
Éditeur Éditions Les Liens qui Libèrent
localisé à :
Paris
|
Documents disponibles chez cet éditeur (2)



Titre : La pandémie, l'anthropocène et le bien commun Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Coriat (1948-....), Auteur Editeur : Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent Année de publication : DL 2020 Importance : 1 vol. (219 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0919-0 Prix : 18 EUR Note générale : Bibliogr. p. 209-217 Langues : Français (fre) Catégories : Anthropocène
Bien commun
Biens collectifs mondiaux
Catastrophisme
Choses communes (droit)
Covid-19
ÉpidémiesIndex. décimale : 3 Résumé :
L’Anthropocène, ce n’est pas seulement le dérèglement climatique, c’est aussi l’âge des pandémies à répétition : telle est la vérité nouvelle livrée par la crise du Covid-19.
Et tel est aussi le point de départ de cet ouvrage.
Dès lors, penser l’Anthropocène force à entrer dans un univers où crises climatiques et crises sanitaires sont un nouvel état permanent.
L’Anthropocène, en bousculant les règles du jeu, bouscule aussi l’horizon et les manières de penser.
Au cœur de ce livre, la rencontre de deux grands récits : celui de l’Anthropocène, dont nous mesurons chaque jour davantage l’ampleur et la gravité des destructions qu’il inflige à notre planète, et celui des communs, tout autre, presque son opposé, sa forme polaire.
Car, qu’il s’agisse de l’emprise sur la nature ou des relations entre humains, ce que porte le mouvement des communs se présente comme une nouvelle façon d’habiter le monde, de s’y lover pour le préserver et, par là même, d’assurer notre propre survie.
Au-delà d’une gouvernance renouvelée du monde naturel, il s’agit de repenser l’action publique elle-même et de faire de nouveau des services publics de véritables biens communs.
Se nourrir, se loger, se soigner, se déplacer, s’éduquer : voilà désormais les pôles d’activité autour desquels l’économie et la société doivent se recomposer, pour le service du bien commun.
Ce livre n’est pas un livre de recettes.
En ces temps de troubles extrêmes, il entend inviter à prendre du champ, de la hauteur.
Il trace une voie.
Afin que tout redevienne possible.La pandémie, l'anthropocène et le bien commun [texte imprimé] / Benjamin Coriat (1948-....), Auteur . - Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent, DL 2020 . - 1 vol. (219 p.) ; 22 cm.
ISBN : 979-10-209-0919-0 : 18 EUR
Bibliogr. p. 209-217
Langues : Français (fre)
Catégories : Anthropocène
Bien commun
Biens collectifs mondiaux
Catastrophisme
Choses communes (droit)
Covid-19
ÉpidémiesIndex. décimale : 3 Résumé :
L’Anthropocène, ce n’est pas seulement le dérèglement climatique, c’est aussi l’âge des pandémies à répétition : telle est la vérité nouvelle livrée par la crise du Covid-19.
Et tel est aussi le point de départ de cet ouvrage.
Dès lors, penser l’Anthropocène force à entrer dans un univers où crises climatiques et crises sanitaires sont un nouvel état permanent.
L’Anthropocène, en bousculant les règles du jeu, bouscule aussi l’horizon et les manières de penser.
Au cœur de ce livre, la rencontre de deux grands récits : celui de l’Anthropocène, dont nous mesurons chaque jour davantage l’ampleur et la gravité des destructions qu’il inflige à notre planète, et celui des communs, tout autre, presque son opposé, sa forme polaire.
Car, qu’il s’agisse de l’emprise sur la nature ou des relations entre humains, ce que porte le mouvement des communs se présente comme une nouvelle façon d’habiter le monde, de s’y lover pour le préserver et, par là même, d’assurer notre propre survie.
Au-delà d’une gouvernance renouvelée du monde naturel, il s’agit de repenser l’action publique elle-même et de faire de nouveau des services publics de véritables biens communs.
Se nourrir, se loger, se soigner, se déplacer, s’éduquer : voilà désormais les pôles d’activité autour desquels l’économie et la société doivent se recomposer, pour le service du bien commun.
Ce livre n’est pas un livre de recettes.
En ces temps de troubles extrêmes, il entend inviter à prendre du champ, de la hauteur.
Il trace une voie.
Afin que tout redevienne possible.Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 27018 316 CORIAT Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
Titre : Qui a vu le zèbre ? : L'invention de la perspective animale Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibault De Meyer, Auteur ; Vinciane Despret (1959-...), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent Année de publication : DL 2024 Importance : 1 vol. (287 p.) Présentation : ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-2410-0 Langues : Français (fre) Catégories : Perspectivisme
Philosophie -- Perspectivisme
Vision -- Chez les animauxIndex. décimale : 101 Philosophie Résumé :
Qui a vu le zèbre ?
Un humain, un lion, une hyène ?
Une illustration scientifique, aussi magnifique qu’intrigante, montre un zèbre tel qu’il est perçu par ces différentes espèces.
Mais comment les biologistes s’y sont-ils pris pour construire cette série d’images ?
Pourquoi donc ont-ils cherché à reproduire le point de vue de ces animaux ?
Sans crier gare, ce zèbre « multiplié perspectivement » ne titille-t-il pas la tradition perspectiviste focalisée, depuis la Renaissance, sur le seul œil humain ?
Ne rappelle-t-il pas, d’une autre façon, les prises de vue semi-subjectives au cinéma ?
Et puis, n’ouvre-t-il pas tout autant à l’idée que l’araignée, elle aussi, tisse des tableaux perspectivistes ?
Il ne s’agit là que de quelques questions avec lesquels Thibault De Meyer trame une vaste toile reliant de multiples images perspectivistes, tant anciennes que récentes.
Il déploie sous nos yeux et pour nos sens un perspectivisme enrichi qui nous incite à penser tout autrement les relations entre les êtres, humains ou non-humains.
À côté de Leibniz et de Nietzsche, Thibault De Meyer invite dans son récit des mouches et des vaches, des orchidées et des éthologues, des anthropologues et des peintres, des auteurs jeunesse et quantité d’autres êtres encore, tous plus curieux les uns que les autres.
Par-là, il fait bien plus que simplement décloisonner les frontières disciplinaires : il repeuple la scène philosophique, il la réenchante d’un nouvel élan créatif en lui insufflant un enthousiasme jovial et ludique.Qui a vu le zèbre ? : L'invention de la perspective animale [texte imprimé] / Thibault De Meyer, Auteur ; Vinciane Despret (1959-...), Préfacier, etc. . - Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent, DL 2024 . - 1 vol. (287 p.) : ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 979-10-209-2410-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Perspectivisme
Philosophie -- Perspectivisme
Vision -- Chez les animauxIndex. décimale : 101 Philosophie Résumé :
Qui a vu le zèbre ?
Un humain, un lion, une hyène ?
Une illustration scientifique, aussi magnifique qu’intrigante, montre un zèbre tel qu’il est perçu par ces différentes espèces.
Mais comment les biologistes s’y sont-ils pris pour construire cette série d’images ?
Pourquoi donc ont-ils cherché à reproduire le point de vue de ces animaux ?
Sans crier gare, ce zèbre « multiplié perspectivement » ne titille-t-il pas la tradition perspectiviste focalisée, depuis la Renaissance, sur le seul œil humain ?
Ne rappelle-t-il pas, d’une autre façon, les prises de vue semi-subjectives au cinéma ?
Et puis, n’ouvre-t-il pas tout autant à l’idée que l’araignée, elle aussi, tisse des tableaux perspectivistes ?
Il ne s’agit là que de quelques questions avec lesquels Thibault De Meyer trame une vaste toile reliant de multiples images perspectivistes, tant anciennes que récentes.
Il déploie sous nos yeux et pour nos sens un perspectivisme enrichi qui nous incite à penser tout autrement les relations entre les êtres, humains ou non-humains.
À côté de Leibniz et de Nietzsche, Thibault De Meyer invite dans son récit des mouches et des vaches, des orchidées et des éthologues, des anthropologues et des peintres, des auteurs jeunesse et quantité d’autres êtres encore, tous plus curieux les uns que les autres.
Par-là, il fait bien plus que simplement décloisonner les frontières disciplinaires : il repeuple la scène philosophique, il la réenchante d’un nouvel élan créatif en lui insufflant un enthousiasme jovial et ludique.Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 26800 101 DE MEYER Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Sorti jusqu'au 17/10/2025