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Le design intemporel de Gae Aulenti / Elien Haentjens in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Le design intemporel de Gae Aulenti Type de document : texte imprimé Auteurs : Elien Haentjens, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 82-85 Langues : Français (fre) Catégories : Aulenti, Gae (1927-2012)
Femmes designers -- Italie -- 20e siècleIndex. décimale : 7.05(092) Designers Résumé : Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
TEXTE: Elien Haentjens
Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
Même si elle est un peu plus jeune que Charlotte Perriand et Eileen Gray, Gae Aulenti (1927-2012) appartient à la première génération des créatrices qui, en tant que pionnières, ont percé dans une discipline dominée par les hommes. Poussée par un besoin de voyager et de découvertes, Gae Aulenti choisit d’étudier les arts plastiques à Florence jusqu’à ce que survienne la Seconde Guerre mondiale. « À l’époque, elle était active dans la résistance », raconte Nina Bassoli, commissaire pour l’Architecture et le renouveau urbain à la Triennale de Milan. « Mue par cet engagement et sa soif de liberté, après la guerre, elle quitte la région du Frioul-Venise pour s’installer à Milan où elle étudie l’architecture à l’Université Polytechnique. Elle souhaite ainsi contribuer à la reconstruction du pays. » La Triennale de Milan joua un rôle majeur dans la carrière de la créatrice ; elle y exposa régulièrement et remporta plusieurs prix. Depuis 2007, c’est devenu un musée permanent et, cet automne, le lieu d’une première grande rétrospective organisée par Nina Bassoli, en collaboration avec le critique d’art Giovanni Agosti et Nina Artioli, directrice de l’Archivio Gae Aulenti et petite-fille de l’artiste.
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 82-85[article] Le design intemporel de Gae Aulenti [texte imprimé] / Elien Haentjens, Auteur . - 2024 . - P. 82-85.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 82-85
Catégories : Aulenti, Gae (1927-2012)
Femmes designers -- Italie -- 20e siècleIndex. décimale : 7.05(092) Designers Résumé : Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
TEXTE: Elien Haentjens
Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
Même si elle est un peu plus jeune que Charlotte Perriand et Eileen Gray, Gae Aulenti (1927-2012) appartient à la première génération des créatrices qui, en tant que pionnières, ont percé dans une discipline dominée par les hommes. Poussée par un besoin de voyager et de découvertes, Gae Aulenti choisit d’étudier les arts plastiques à Florence jusqu’à ce que survienne la Seconde Guerre mondiale. « À l’époque, elle était active dans la résistance », raconte Nina Bassoli, commissaire pour l’Architecture et le renouveau urbain à la Triennale de Milan. « Mue par cet engagement et sa soif de liberté, après la guerre, elle quitte la région du Frioul-Venise pour s’installer à Milan où elle étudie l’architecture à l’Université Polytechnique. Elle souhaite ainsi contribuer à la reconstruction du pays. » La Triennale de Milan joua un rôle majeur dans la carrière de la créatrice ; elle y exposa régulièrement et remporta plusieurs prix. Depuis 2007, c’est devenu un musée permanent et, cet automne, le lieu d’une première grande rétrospective organisée par Nina Bassoli, en collaboration avec le critique d’art Giovanni Agosti et Nina Artioli, directrice de l’Archivio Gae Aulenti et petite-fille de l’artiste.Les visages multiples de Gae Aulenti in Connaissance des arts, n°411(1986 ; mai) (1986-05-01)