La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration / Margot Laudoux in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)  

Public ISBD [article]  inSciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 102-120 Titre : La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration Type de document : texte imprimé Auteurs : Margot Laudoux, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 102-120 Langues : Français (fre) Catégories : Activités créatrices et manuelles -- Aspect social Cartographie Géographie sociale -- France -- 21e siècle Hospitalité Participation sociale Recherche-action Réfugiés -- Aspect social -- France -- 21e siècle Sciences sociales -- Méthodologie Vivre-ensemble Résumé : La cartographie sensible et narrative sous forme d’ateliers participatifs permet aux cohabitants, dont des personnes en situation d’exil, de s’exprimer mais aussi de se réapproprier leur propre espace-temps qui ne leur appartenait plus jusqu’ici. De plus, ces ateliers, initiés par un designer devenu initiateur, passerelle et médiateur, questionnent l’utilisation des données issues du sensible et de la création cartographique dans les différentes disciplines des sciences sociales. Représenter le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration permet également d’interroger la possibilité d’un agir-ensemble collectif et de désurbaniser les regards portés sur le phénomène migratoire. Finalement, il s’agit de questionner la construction d’inter-cartes comme représentation d’un ici et maintenant hospitalier à partir de l’espace-vécu de l’ensemble des cohabitants d’un territoire, ici la commune d’Ambert dans le Puy-de-Dôme. Note de contenu : Plan : 1. — L’inter-carte comme représentation du vivre-ensemble sur un territoire 1.1. — Une méthode d’enquête exploratoire participative 1.2. — Rendre visible et tangible la voix de ceux qui n’en ont plus 1.3. — Méthodologie de l’inter-carte 2. — La cartographie sensible participative comme outil d’inclusion, voire de contre-pouvoir 2.1. — La carte et la cartographie comme système de dialogue 2.2. — Les ateliers comme potentiel agir-ensemble sur un territoire 3. — L’inter-carte comme construction de savoirs in situ 3.1. — La cartographie comme création documentaire d’un ici et maintenant commun 3.2. — Une recherche-expérimentation transdisciplinaire, voire indisciplinaire 3.3. — Une construction de savoirs participative, indisciplinaire et alternative Conclusion En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0102 [article] La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration [texte imprimé] / Margot Laudoux, Auteur . - 2023 . - P. 102-120. Langues : Français (fre) in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 102-120 Catégories : Activités créatrices et manuelles -- Aspect social Cartographie Géographie sociale -- France -- 21e siècle Hospitalité Participation sociale Recherche-action Réfugiés -- Aspect social -- France -- 21e siècle Sciences sociales -- Méthodologie Vivre-ensemble Résumé : La cartographie sensible et narrative sous forme d’ateliers participatifs permet aux cohabitants, dont des personnes en situation d’exil, de s’exprimer mais aussi de se réapproprier leur propre espace-temps qui ne leur appartenait plus jusqu’ici. De plus, ces ateliers, initiés par un designer devenu initiateur, passerelle et médiateur, questionnent l’utilisation des données issues du sensible et de la création cartographique dans les différentes disciplines des sciences sociales. Représenter le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration permet également d’interroger la possibilité d’un agir-ensemble collectif et de désurbaniser les regards portés sur le phénomène migratoire. Finalement, il s’agit de questionner la construction d’inter-cartes comme représentation d’un ici et maintenant hospitalier à partir de l’espace-vécu de l’ensemble des cohabitants d’un territoire, ici la commune d’Ambert dans le Puy-de-Dôme. Note de contenu : Plan : 1. — L’inter-carte comme représentation du vivre-ensemble sur un territoire 1.1. — Une méthode d’enquête exploratoire participative 1.2. — Rendre visible et tangible la voix de ceux qui n’en ont plus 1.3. — Méthodologie de l’inter-carte 2. — La cartographie sensible participative comme outil d’inclusion, voire de contre-pouvoir 2.1. — La carte et la cartographie comme système de dialogue 2.2. — Les ateliers comme potentiel agir-ensemble sur un territoire 3. — L’inter-carte comme construction de savoirs in situ 3.1. — La cartographie comme création documentaire d’un ici et maintenant commun 3.2. — Une recherche-expérimentation transdisciplinaire, voire indisciplinaire 3.3. — Une construction de savoirs participative, indisciplinaire et alternative Conclusion En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0102

Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles / Marie Trossat in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)  

Public ISBD [article]  inSciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 16-37 Titre : Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Trossat, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 16-37 Langues : Français (fre) Catégories : Centres d'accueil pour demandeurs d'asile -- Bruxelles (Belgique) Design urbain -- Participation des citoyens -- Bruxelles (Belgique) Écologie urbaine -- Bruxelles (Belgique) -- Aspect social Hospitalité Parcs -- Aménagement -- Bruxelles (Belgique) Vivre-ensemble Index. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Questionnant les définitions théoriques et appliquées de l’écologie notamment par celle de l’« écologie humaine » des premièr·e·s sociologues de l’École de Chicago, cet article propose d’étudier les dynamiques à l’œuvre dans le Quartier Nord de Bruxelles. Plus spécifiquement, l’article se base sur le récit de la transformation du Parc Maximilien : parc dédié depuis 2015 à l’accueil de nouveaux·elles arrivant·e·s en situation de précarité et destiné à se transformer en une ferme urbaine. Par le récit saisissant les intentions des différent·e·s acteur·rice·s de la production urbaine, le sort et les problèmes des publics habitant et occupant, l’article met en lumière l’exclusion dont ces publics font l’objet par le discours, le programme et l’enquête. Si l’ethnographie menée révèle les failles de l’instrumentalisation du discours écologique, participatif et consensuel de la pensée urbanistique contemporaine, elle ouvre cependant sur une autre perspective de l’écologie : à la fois, urbaine, plurielle et prometteuse d’une conception hospitalière de la ville. Note de contenu : Plan : 1. — Cadre méthodologique et éléments repères 1.1. — Méthode 1.2. — Le Quartier Nord, quelques éléments-repères 2. — D’une vision plurielle de l’écologie 2.1. — La participation comme principe écologique de l’hospitalité 2.2. — Les « non » et les « sans » 3. — Le Parc Maximilien : une écologie de la ville du « sans » 3.1. — Du sans-abrisme migrant 3.2. — J’ai du mal à l’accepter, mais je sais que je fais partie du problème 4. — Faire la ville sans, ou la ville contre ? 4.1. — Architecture défensive, faune et flore contre migrant·e·s ? 4.2. — L’exclusion par le discours, le programme et l’enquête Conclusion En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0016 [article] Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles [texte imprimé] / Marie Trossat, Auteur . - 2023 . - P. 16-37. Langues : Français (fre) in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 16-37 Catégories : Centres d'accueil pour demandeurs d'asile -- Bruxelles (Belgique) Design urbain -- Participation des citoyens -- Bruxelles (Belgique) Écologie urbaine -- Bruxelles (Belgique) -- Aspect social Hospitalité Parcs -- Aménagement -- Bruxelles (Belgique) Vivre-ensemble Index. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Questionnant les définitions théoriques et appliquées de l’écologie notamment par celle de l’« écologie humaine » des premièr·e·s sociologues de l’École de Chicago, cet article propose d’étudier les dynamiques à l’œuvre dans le Quartier Nord de Bruxelles. Plus spécifiquement, l’article se base sur le récit de la transformation du Parc Maximilien : parc dédié depuis 2015 à l’accueil de nouveaux·elles arrivant·e·s en situation de précarité et destiné à se transformer en une ferme urbaine. Par le récit saisissant les intentions des différent·e·s acteur·rice·s de la production urbaine, le sort et les problèmes des publics habitant et occupant, l’article met en lumière l’exclusion dont ces publics font l’objet par le discours, le programme et l’enquête. Si l’ethnographie menée révèle les failles de l’instrumentalisation du discours écologique, participatif et consensuel de la pensée urbanistique contemporaine, elle ouvre cependant sur une autre perspective de l’écologie : à la fois, urbaine, plurielle et prometteuse d’une conception hospitalière de la ville. Note de contenu : Plan : 1. — Cadre méthodologique et éléments repères 1.1. — Méthode 1.2. — Le Quartier Nord, quelques éléments-repères 2. — D’une vision plurielle de l’écologie 2.1. — La participation comme principe écologique de l’hospitalité 2.2. — Les « non » et les « sans » 3. — Le Parc Maximilien : une écologie de la ville du « sans » 3.1. — Du sans-abrisme migrant 3.2. — J’ai du mal à l’accepter, mais je sais que je fais partie du problème 4. — Faire la ville sans, ou la ville contre ? 4.1. — Architecture défensive, faune et flore contre migrant·e·s ? 4.2. — L’exclusion par le discours, le programme et l’enquête Conclusion En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0016

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