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Titre : N°465(2017:novembre) - 2017-11-04 - Mexique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Catégories : Animaux sauvages -- Photographie
Archéologie -- Mexique
Architecture maya
Cultes -- Orient
Glace -- Photographies
Icebergs
Mexique - Descriptions et voyages
Pyramides -- Mexique
Reporters
Sibérie (Russie)
Volcans -- MexiqueIndex. décimale : 91 Géographie Résumé : Requiem pour les abeilles
On dirait un conte, qui rappelle ces fables du Nord, peuplées de fées, de trolls ou de marchandes d’allumettes, et qu’on a envie de lire à des enfants pour les arracher à la PlayStation. Le titre original du livre, en norvégien (L’Histoire des abeilles), peut paraître encyclopédique mais, à l’intérieur, on découvre un roman haletant qui raconte ce que peut devenir notre monde qui voit disparaître les abeilles. L’ouvrage figure depuis quarante semaines dans la liste des best-sellers en Allemagne et a été traduit dans trente pays, dont la France*. Son auteure est devenue une star de l’édition en Norvège. Pour l’anecdote, elle se prénomme Maja, comme une célèbre abeille…
Je m’arrête un instant sur les raisons de ce succès. L’abeille, évidemment, est sympathique, mignonne, attachante et a, depuis des millénaires, symbolisé de nombreuses vertus : prudence, altruisme, fiabilité… Par ailleurs, sa situation nous affole. De nombreuses études font état de la disparition accélérée des colonies. Dans le roman de Maja Lunde, ce sont finalement des hommes eux-mêmes qui, après la fin des abeilles, doivent répandre le pollen sur les arbres pour survivre.
Le requiem pour les reines et les ruches nous interpelle parce que, à travers elles, le sort de la planète devient concret. Voilà qui nous préoccupe bien davantage que l’objectif de «limitation à 1,5 °C de plus de la température du globe par rapport à l’ère préindustrielle» ou les prévisions relatives à la montée des eaux à l’horizon 2100. Les catastrophes naturelles, certes, nous émeuvent ou nous révoltent, mais nous renvoient à une position d’impuissant spectateur des fatales colères de la Terre. Et les grandes conférences internationales sur le climat ? Ce mois-ci, à Bonn, a lieu la vingt-troisième COP. Les chefs d’Etat y prendront des «engagements». Mais qui parmi nous se souvient des précédents, lors de la COP 21 à Paris ou de la 22 au Maroc ? Qui a changé quoi dans sa vie quotidienne depuis ? Qui se mobilise pour la «transition écologique et solidaire » ? Le mot «environnement» lui-même fatigue. Le sens qu’il revêt («ce qui nous environne ») a pris une connotation distante, ennuyeuse, technocratique. Nous sommes ainsi faits que nos passions et nos actions sont davantage motivées par des lieux ou des êtres vivants, proches et attachants : un animal, une rivière, un jardin, un vieux bâtiment, un arbre, un temple. Et une abeille, bien sûr. Ce sont eux qui nous parlent, parce qu’ils font résonner en nous trois cordes sensibles de l’âme humaine : l’amour, la beauté, le sacré.
* Une histoire des abeilles, par Maja Lunde, éd. les Presses de la Cité, 22,50 €
Eric Meyer, rédacteur en chefNote de contenu : Au sommaire du magazine GEO n°465 (novembre 2017)
ÉDITORIAL
VOUS@GEO
PHOTOREPORTER
Trois photographes livrent les dessous de leurs images fortes.
LE MONDE QUI CHANGE
Le Salvador renonce à son trésor.
LE GOÛT DE GEO
Le whisky : le secret des alambics écossais.
L’ŒIL DE GEO
A lire, à voir.
DÉCOUVERTE
La faune prise sur le vif
Chaque année, le Musée d’histoire naturelle de Londres et BBC Worldwide récompensent les plus belles photos animalières. Notre sélection, entre pure contemplation et vibrant plaidoyer.
EN COUVERTURE
Mexique
C’est un pays aux multiples atouts : deux océans, des déserts, des volcans et des sierras, des cités fascinantes et un patrimoine archéologique exceptionnel.
REGARD
Lac Baïkal : l’hiver à l’état brut
Quand vient la saison froide, la perle de Sibérie se fige sous les griffes du vent polaire, métamorphosant ses paysages en de sublimes œuvres d’art.
GRAND REPORTAGE
Les Yézidis : enquête sur les oubliés de l’Orient
Vouant un culte à l’Ange-Paon, incarnation de leur dieu, les Yézidis sont traqués depuis des siècles. Nous avons pu nous rendre chez eux, en Irak.
LE MONDE EN CARTES
Que fait la France de son domaine maritime ?
GRANDE SÉRIE 2017 :
LA FRANCE DES MYSTÈRES ET DES CROYANCES
Les Hauts-de-France Toute l’année, les reporters de GEO enquêtent sur ces énigmes qui contribuent à l’imaginaire de nos régions.
LES RENDEZ-VOUS DE GEO
LE MONDE DE… Natalie DessayEn ligne : http://www.geo.fr/en-kiosque/le-mexique-dans-le-nouveau-magazine-geo-180320 [n° ou bulletin] N°465(2017:novembre) - 2017-11-04 - Mexique [texte imprimé] . - 2017.
Langues : Français (fre)
Catégories : Animaux sauvages -- Photographie
Archéologie -- Mexique
Architecture maya
Cultes -- Orient
Glace -- Photographies
Icebergs
Mexique - Descriptions et voyages
Pyramides -- Mexique
Reporters
Sibérie (Russie)
Volcans -- MexiqueIndex. décimale : 91 Géographie Résumé : Requiem pour les abeilles
On dirait un conte, qui rappelle ces fables du Nord, peuplées de fées, de trolls ou de marchandes d’allumettes, et qu’on a envie de lire à des enfants pour les arracher à la PlayStation. Le titre original du livre, en norvégien (L’Histoire des abeilles), peut paraître encyclopédique mais, à l’intérieur, on découvre un roman haletant qui raconte ce que peut devenir notre monde qui voit disparaître les abeilles. L’ouvrage figure depuis quarante semaines dans la liste des best-sellers en Allemagne et a été traduit dans trente pays, dont la France*. Son auteure est devenue une star de l’édition en Norvège. Pour l’anecdote, elle se prénomme Maja, comme une célèbre abeille…
Je m’arrête un instant sur les raisons de ce succès. L’abeille, évidemment, est sympathique, mignonne, attachante et a, depuis des millénaires, symbolisé de nombreuses vertus : prudence, altruisme, fiabilité… Par ailleurs, sa situation nous affole. De nombreuses études font état de la disparition accélérée des colonies. Dans le roman de Maja Lunde, ce sont finalement des hommes eux-mêmes qui, après la fin des abeilles, doivent répandre le pollen sur les arbres pour survivre.
Le requiem pour les reines et les ruches nous interpelle parce que, à travers elles, le sort de la planète devient concret. Voilà qui nous préoccupe bien davantage que l’objectif de «limitation à 1,5 °C de plus de la température du globe par rapport à l’ère préindustrielle» ou les prévisions relatives à la montée des eaux à l’horizon 2100. Les catastrophes naturelles, certes, nous émeuvent ou nous révoltent, mais nous renvoient à une position d’impuissant spectateur des fatales colères de la Terre. Et les grandes conférences internationales sur le climat ? Ce mois-ci, à Bonn, a lieu la vingt-troisième COP. Les chefs d’Etat y prendront des «engagements». Mais qui parmi nous se souvient des précédents, lors de la COP 21 à Paris ou de la 22 au Maroc ? Qui a changé quoi dans sa vie quotidienne depuis ? Qui se mobilise pour la «transition écologique et solidaire » ? Le mot «environnement» lui-même fatigue. Le sens qu’il revêt («ce qui nous environne ») a pris une connotation distante, ennuyeuse, technocratique. Nous sommes ainsi faits que nos passions et nos actions sont davantage motivées par des lieux ou des êtres vivants, proches et attachants : un animal, une rivière, un jardin, un vieux bâtiment, un arbre, un temple. Et une abeille, bien sûr. Ce sont eux qui nous parlent, parce qu’ils font résonner en nous trois cordes sensibles de l’âme humaine : l’amour, la beauté, le sacré.
* Une histoire des abeilles, par Maja Lunde, éd. les Presses de la Cité, 22,50 €
Eric Meyer, rédacteur en chefNote de contenu : Au sommaire du magazine GEO n°465 (novembre 2017)
ÉDITORIAL
VOUS@GEO
PHOTOREPORTER
Trois photographes livrent les dessous de leurs images fortes.
LE MONDE QUI CHANGE
Le Salvador renonce à son trésor.
LE GOÛT DE GEO
Le whisky : le secret des alambics écossais.
L’ŒIL DE GEO
A lire, à voir.
DÉCOUVERTE
La faune prise sur le vif
Chaque année, le Musée d’histoire naturelle de Londres et BBC Worldwide récompensent les plus belles photos animalières. Notre sélection, entre pure contemplation et vibrant plaidoyer.
EN COUVERTURE
Mexique
C’est un pays aux multiples atouts : deux océans, des déserts, des volcans et des sierras, des cités fascinantes et un patrimoine archéologique exceptionnel.
REGARD
Lac Baïkal : l’hiver à l’état brut
Quand vient la saison froide, la perle de Sibérie se fige sous les griffes du vent polaire, métamorphosant ses paysages en de sublimes œuvres d’art.
GRAND REPORTAGE
Les Yézidis : enquête sur les oubliés de l’Orient
Vouant un culte à l’Ange-Paon, incarnation de leur dieu, les Yézidis sont traqués depuis des siècles. Nous avons pu nous rendre chez eux, en Irak.
LE MONDE EN CARTES
Que fait la France de son domaine maritime ?
GRANDE SÉRIE 2017 :
LA FRANCE DES MYSTÈRES ET DES CROYANCES
Les Hauts-de-France Toute l’année, les reporters de GEO enquêtent sur ces énigmes qui contribuent à l’imaginaire de nos régions.
LES RENDEZ-VOUS DE GEO
LE MONDE DE… Natalie DessayEn ligne : http://www.geo.fr/en-kiosque/le-mexique-dans-le-nouveau-magazine-geo-180320 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 21844 Géo Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible N°468(2018:février) - 2018-02-04 - Une force de la nature : Namibie (Bulletin de Géo : Voir le monde autrement)
[n° ou bulletin]
Titre : N°468(2018:février) - 2018-02-04 - Une force de la nature : Namibie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Note générale : Sous les déchets, la plage
Vu de loin, Pulau Bui est un rêve d'îlot. Avec son rideau de cocotiers ébouriffés sur un ruban de sable blanc. Et la mer aux nuances émeraude qui, à l'horizon, vient heurter l'écran noir d'un ciel d'orage. On y arrive en Zodiac ou en pirogue après un voyage entre les mers d'Arafura et de Banda, dans l'archipel des Moluques. Mais, à peine franchi l'ourlet de sable, et pénétré dans la forêt, le paradis devient poubelle. J'y étais il y a quelques semaines. Je marchais sur des milliers de déchets plastique, des bouteilles d'eau surtout, certaines encore pleines, des bouchons éparpillés, des tongs, des boîtes de médicaments, le tout enchevêtré dans les palmes de cocotier desséchées.
Ce n'est – hélas ! – pas un cas isolé. De nombreuses îles, plages et côtes dans le monde sont envahies par les débris de la consommation humaine. Henderson, un caillou loin de tout, à 5 000 kilomètres des côtes du Chili, affiche le triste privilège de posséder la densité de déchets plastique la plus forte du monde. Etudes et témoignages s'accumulent pour signaler les conséquences de cette pollution charriée par les courants et les marées. Des oiseaux qui nourrissent leurs petits avec des sachets de plastique. Des bernard-l'ermite qui se cachent dans des capuchons de stylo ou de bouteille. Et la tortue marine à laquelle on a retiré de la narine une paille en plastique (la vidéo, à déconseiller aux âmes sensibles, a été vue seize millions de fois sur YouTube).
Les signaux d'alerte ne manquent pas pour nous faire prendre conscience de cette marée qui se déverse dans les océans, la majeure partie d'ailleurs au fond, à l'état de microparticules. Les tentatives de solution sont heureusement nombreuses. Des lois, des taxes, des investissements industriels pour le tri et le recyclage (lire notre enquête), des innovations technologiques (une bactérie dévoreuse de plastique, entre autres). Sans compter les nombreuses initiatives soutenues par des groupes écologistes, certaines utopiques (n'acheter que des produits sans emballages), d'autres empreintes de bon sens (supprimer l'usage abusif des pailles en plastique). Rien de tout cela évidemment n'étant pleinement efficace sans modification des comportements du consommateur et citoyen.
En rentrant de Pulau Bui, j'ai vu un automobiliste, à Paris, jeter sur la chaussée ses paquets de mouchoirs vides. Que s'est-il dit alors ? Que les éboueurs les ramasseront ? Qu'au pire, il risquait soixante-huit euros d'amende ? Ou que les vents les emporteront et que les albatros ou les tortues les mangeront, plus tard ? Involontaires chiffonniers des mers…
Eric Meyer, rédacteur en chefLangues : Français (fre) Catégories : Arbres remarquables -- Photographie
Arctique -- Découverte et exploration
Chutes d'eau -- Photographies
Colonies -- Namibie
Déchets -- Élimination -- 21e siècle
Déserts
Enfants -- Alimentation -- Photographies
Frontières
Groenland
Guépard -- Namibie
Herero (peuple d'Afrique)
Icebergs
Mer -- Pollution
Namibie
Photographie documentaire -- 21e siècle
Recyclage (déchets, etc.)Index. décimale : 91 Géographie Note de contenu : Au sommaire du magazine GEO de février 2018 (n°468)
ÉDITORIAL
VOUS@GEO
PHOTOREPORTER
Trois photographes livrent les dessous de leurs images fortes.
LE MONDE QUI CHANGE
Le tourisme africain prend son envol.
LE GOÛT DE GEO
Paella : la poêlée qui divise les Espagnols.
L'ŒIL DE GEO
A lire, à voir.
DÉCOUVERTE
Au Groenland, le trésor le mieux gardé de l'Arctique
Percé de fjords, dominé par des aiguilles alpines, le rivage nord-est de l'île abrite le plus grand parc naturel du monde. Bloqué par la banquise une partie de l'année, il accueille à la belle saison quelques visiteurs privilégiés.
REGARD
Ce que j'ai mangé cette semaine
Voici, en images, ce qu'avalent, en sept jours, les enfants de quatre continents. Pizza, brocolis, gâteaux, riz, fromage… Leurs choix alimentaires sont le reflet de nos modes de vie.
EN COUVERTURE
Namibie : une force de la nature
Flore et faune prodigieuse, immenses étendues désertes : au "pays des braves", nos reporters ont rencontré les Herero, peuple qui a survécu à un génocide. Ils ont aussi suivi la bonne fée des guépards, visité les vestiges coloniaux allemands et – peut-être – retrouvé l'un des berceaux de l'humanité.
LE MONDE EN CARTES
Frontières : les "accidents" de tracés
GRAND REPORTAGE
Déchets, l'overdose
Chaque jour, sur terre, quatre millions de tonnes d'ordures ménagères sont produites. L'équivalent de 400 tours Eiffel ! S'en débarrasser est un casse-tête. Enquête.
LES RENDEZ-VOUS DE GEO
LE MONDE DE… Michel Bussi[n° ou bulletin] N°468(2018:février) - 2018-02-04 - Une force de la nature : Namibie [texte imprimé] . - 2018.
Sous les déchets, la plage
Vu de loin, Pulau Bui est un rêve d'îlot. Avec son rideau de cocotiers ébouriffés sur un ruban de sable blanc. Et la mer aux nuances émeraude qui, à l'horizon, vient heurter l'écran noir d'un ciel d'orage. On y arrive en Zodiac ou en pirogue après un voyage entre les mers d'Arafura et de Banda, dans l'archipel des Moluques. Mais, à peine franchi l'ourlet de sable, et pénétré dans la forêt, le paradis devient poubelle. J'y étais il y a quelques semaines. Je marchais sur des milliers de déchets plastique, des bouteilles d'eau surtout, certaines encore pleines, des bouchons éparpillés, des tongs, des boîtes de médicaments, le tout enchevêtré dans les palmes de cocotier desséchées.
Ce n'est – hélas ! – pas un cas isolé. De nombreuses îles, plages et côtes dans le monde sont envahies par les débris de la consommation humaine. Henderson, un caillou loin de tout, à 5 000 kilomètres des côtes du Chili, affiche le triste privilège de posséder la densité de déchets plastique la plus forte du monde. Etudes et témoignages s'accumulent pour signaler les conséquences de cette pollution charriée par les courants et les marées. Des oiseaux qui nourrissent leurs petits avec des sachets de plastique. Des bernard-l'ermite qui se cachent dans des capuchons de stylo ou de bouteille. Et la tortue marine à laquelle on a retiré de la narine une paille en plastique (la vidéo, à déconseiller aux âmes sensibles, a été vue seize millions de fois sur YouTube).
Les signaux d'alerte ne manquent pas pour nous faire prendre conscience de cette marée qui se déverse dans les océans, la majeure partie d'ailleurs au fond, à l'état de microparticules. Les tentatives de solution sont heureusement nombreuses. Des lois, des taxes, des investissements industriels pour le tri et le recyclage (lire notre enquête), des innovations technologiques (une bactérie dévoreuse de plastique, entre autres). Sans compter les nombreuses initiatives soutenues par des groupes écologistes, certaines utopiques (n'acheter que des produits sans emballages), d'autres empreintes de bon sens (supprimer l'usage abusif des pailles en plastique). Rien de tout cela évidemment n'étant pleinement efficace sans modification des comportements du consommateur et citoyen.
En rentrant de Pulau Bui, j'ai vu un automobiliste, à Paris, jeter sur la chaussée ses paquets de mouchoirs vides. Que s'est-il dit alors ? Que les éboueurs les ramasseront ? Qu'au pire, il risquait soixante-huit euros d'amende ? Ou que les vents les emporteront et que les albatros ou les tortues les mangeront, plus tard ? Involontaires chiffonniers des mers…
Eric Meyer, rédacteur en chef
Langues : Français (fre)
Catégories : Arbres remarquables -- Photographie
Arctique -- Découverte et exploration
Chutes d'eau -- Photographies
Colonies -- Namibie
Déchets -- Élimination -- 21e siècle
Déserts
Enfants -- Alimentation -- Photographies
Frontières
Groenland
Guépard -- Namibie
Herero (peuple d'Afrique)
Icebergs
Mer -- Pollution
Namibie
Photographie documentaire -- 21e siècle
Recyclage (déchets, etc.)Index. décimale : 91 Géographie Note de contenu : Au sommaire du magazine GEO de février 2018 (n°468)
ÉDITORIAL
VOUS@GEO
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Trois photographes livrent les dessous de leurs images fortes.
LE MONDE QUI CHANGE
Le tourisme africain prend son envol.
LE GOÛT DE GEO
Paella : la poêlée qui divise les Espagnols.
L'ŒIL DE GEO
A lire, à voir.
DÉCOUVERTE
Au Groenland, le trésor le mieux gardé de l'Arctique
Percé de fjords, dominé par des aiguilles alpines, le rivage nord-est de l'île abrite le plus grand parc naturel du monde. Bloqué par la banquise une partie de l'année, il accueille à la belle saison quelques visiteurs privilégiés.
REGARD
Ce que j'ai mangé cette semaine
Voici, en images, ce qu'avalent, en sept jours, les enfants de quatre continents. Pizza, brocolis, gâteaux, riz, fromage… Leurs choix alimentaires sont le reflet de nos modes de vie.
EN COUVERTURE
Namibie : une force de la nature
Flore et faune prodigieuse, immenses étendues désertes : au "pays des braves", nos reporters ont rencontré les Herero, peuple qui a survécu à un génocide. Ils ont aussi suivi la bonne fée des guépards, visité les vestiges coloniaux allemands et – peut-être – retrouvé l'un des berceaux de l'humanité.
LE MONDE EN CARTES
Frontières : les "accidents" de tracés
GRAND REPORTAGE
Déchets, l'overdose
Chaque jour, sur terre, quatre millions de tonnes d'ordures ménagères sont produites. L'équivalent de 400 tours Eiffel ! S'en débarrasser est un casse-tête. Enquête.
LES RENDEZ-VOUS DE GEO
LE MONDE DE… Michel BussiRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 22205 Géo Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible N°486(2019:août) - 2019-08-04 - Groenland : le nouveau rêve du voyageur (Bulletin de Géo : Voir le monde autrement)
[n° ou bulletin]
Titre : N°486(2019:août) - 2019-08-04 - Groenland : le nouveau rêve du voyageur Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Catégories : Animaux maltraités -- Birmanie
Animaux sauvages -- Photographie
Architecture religieuse -- Éthiopie
Arctique -- Photographies
Art inuit
Chemins de fer -- Afrique
Éléphants -- Birmanie
Groenland
Icebergs
Inuits
Malaurie, Jean (1922-....)
Matera (Italie)
Méditerranée, Îles de la -- CartesIndex. décimale : 91 Géographie [n° ou bulletin] N°486(2019:août) - 2019-08-04 - Groenland : le nouveau rêve du voyageur [texte imprimé] . - 2019.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 23696 Géo Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible