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À moitié carré, à moitié fou / Vincent Pécoil
Titre : À moitié carré, à moitié fou : [exposition], Centre national d'art contemporain de la Villa Arson Nice, 10 février - 3 juin 2007 Titre original : = Half square, half crazy Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Pécoil (1971 - ....), Commissaire d'exposition ; Lili Reynaud Dewar (1975 - ....), Commissaire d'exposition ; Elisabeth Wetterwald, Commissaire d'exposition ; Éric Mangion, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Centre national d'art contemporain (Nice), Editeur scientifique Editeur : Nice : Villa Arson Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84066-156-6 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Art contemporain -- Expositions
Art minimal -- Catalogues d'exposition
Sculpture -- 21ème siècle -- Catalogues d'expositionIndex. décimale : 7.039 Art contemporain Résumé :
L'art minimal et son héritage actuel.
À moitié carré à moitié fou examine la revisitation ou le remploi de formes et de dispositifs issus de l'art minimal par de nombreux artistes contemporains.
Prenant en compte leur cooptation actuelle par l'industrie culturelle et le design, ces artistes mettent à jour la contradiction inhérente aux néo-avant-gardes des années 1960 entre aspiration à l'autonomie de l'art et hétéronomie des moyens mis en œuvre pour y parvenir.
Revenant sur les apories d'un tel héritage historique, les pratiques discutées ici engagent une nouvelle "partie" qui privilégie l'accident plutôt que l'essence, le "déformalisme" plutôt que la résolution formelle et le dysfonctionnement plutôt que l'efficacité rationnelle.Note de contenu :
Œuvres de Boris Achour, Saâdane Afif, John Armleder, Martin Boyce, Ceal Floyer, Delphine Coindet, Martin Creed, François Curlet, Stéphane Dafflon, Philippe Decrauzat, Vidya Gastaldon, Wade Guyton, Jeppe Hein, Lothar Hempel, Mathieu Mercier, Jonathan Monk, Olivier Mosset, Olaf Nicolai, Steven Parrino, Bruno Peinado, Mai-Thu Perret, Raymond Pettibon, Pascal Pinaud, Eva Rothschild, Michael Scott, Blair Thurman, John Tremblay, Daan van Golden, Dan Walsh, Pae White...À moitié carré, à moitié fou = = Half square, half crazy : [exposition], Centre national d'art contemporain de la Villa Arson Nice, 10 février - 3 juin 2007 [texte imprimé] / Vincent Pécoil (1971 - ....), Commissaire d'exposition ; Lili Reynaud Dewar (1975 - ....), Commissaire d'exposition ; Elisabeth Wetterwald, Commissaire d'exposition ; Éric Mangion, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Centre national d'art contemporain (Nice), Editeur scientifique . - Nice : Villa Arson, 2007 . - 1 vol. (173 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm.
ISBN : 978-2-84066-156-6 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Art contemporain -- Expositions
Art minimal -- Catalogues d'exposition
Sculpture -- 21ème siècle -- Catalogues d'expositionIndex. décimale : 7.039 Art contemporain Résumé :
L'art minimal et son héritage actuel.
À moitié carré à moitié fou examine la revisitation ou le remploi de formes et de dispositifs issus de l'art minimal par de nombreux artistes contemporains.
Prenant en compte leur cooptation actuelle par l'industrie culturelle et le design, ces artistes mettent à jour la contradiction inhérente aux néo-avant-gardes des années 1960 entre aspiration à l'autonomie de l'art et hétéronomie des moyens mis en œuvre pour y parvenir.
Revenant sur les apories d'un tel héritage historique, les pratiques discutées ici engagent une nouvelle "partie" qui privilégie l'accident plutôt que l'essence, le "déformalisme" plutôt que la résolution formelle et le dysfonctionnement plutôt que l'efficacité rationnelle.Note de contenu :
Œuvres de Boris Achour, Saâdane Afif, John Armleder, Martin Boyce, Ceal Floyer, Delphine Coindet, Martin Creed, François Curlet, Stéphane Dafflon, Philippe Decrauzat, Vidya Gastaldon, Wade Guyton, Jeppe Hein, Lothar Hempel, Mathieu Mercier, Jonathan Monk, Olivier Mosset, Olaf Nicolai, Steven Parrino, Bruno Peinado, Mai-Thu Perret, Raymond Pettibon, Pascal Pinaud, Eva Rothschild, Michael Scott, Blair Thurman, John Tremblay, Daan van Golden, Dan Walsh, Pae White...Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Sl 20249 7.039 PEC Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible Voids / Mathieu Copeland
Titre : Voids : a retrospective / Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Copeland, Commissaire d'exposition ; Centre Georges Pompidou, Auteur ; Kunsthalle Bern, Commissaire d'exposition ; Centre Pompidou-Metz, Auteur Editeur : Zurich : JRP/Ringier Année de publication : 2009 Importance : 464, [64] p. Présentation : ill. en noir et blanc, ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-3-03764-017-3 Langues : Anglais (eng) Catégories : Art conceptuel -- Catalogues d'exposition
Art minimal -- Catalogues d'exposition
Vide -- Dans l'art -- Catalogues d'expositionIndex. décimale : 7.039 Art contemporain Résumé :
Si le vide est pour Yves Klein un moyen de signaler l'état sensible, il représente en revanche l'apogée de l'art conceptuel et minimal pour Robert Barry avec Some places to which we can come, and for a while 'be free to think about what we are going to do.' (Marcuse), [« Des lieux où nous pouvons venir, et pour un moment, « être libre de penser à ce que nous allons faire ». (Marcuse) »], œuvre initiée en 1970.
Il peut aussi résulter du désir de brouiller la compréhension des espaces d'expositions, comme dans l'œuvre The Air-Conditioning Show d'Art & Language (1966-1967), ou de vider une institution pour modifier notre expérience comme dans l'oeuvre de Stanley Brouwn.
Il traduit également la volonté de faire l'expérience des qualités d'un lieu d'exposition, comme pour Robert Irwin et son exposition réalisée à la ACE Gallery en 1970, ou pour Maria Nordman lors de son exposition à Krefeld en 1984.
Le vide représente aussi une forme de radicalité, comme celui créé par Laurie Parsons en 1990 à la galerie Lorence-Monk, qui annonce son renoncement à toute pratique artistique. Pour Bethan Huws et son œuvre Haus Esters Piece (1993), le vide permet de célébrer l'architecture du musée, signifiant que l'art y est déjà présent et qu'il n'est pas nécessaire d'y ajouter des œuvres d'art.
Le vide revêt presque le sens d'une revendication économique pour Maria Eichhorn qui, laissant son exposition vide à la Kunsthalle Bern en 2001, permet d'en consacrer le budget à la rénovation du bâtiment.
Avec More Silent than Ever (2006), Roman Ondak, quant à lui, laisse croire au spectateur qu'il y a plus que ce qui est laissé à voir.Voids : a retrospective / [texte imprimé] / Mathieu Copeland, Commissaire d'exposition ; Centre Georges Pompidou, Auteur ; Kunsthalle Bern, Commissaire d'exposition ; Centre Pompidou-Metz, Auteur . - Zurich : JRP/Ringier, 2009 . - 464, [64] p. : ill. en noir et blanc, ill. en coul. ; 29 cm.
ISBN : 978-3-03764-017-3
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Art conceptuel -- Catalogues d'exposition
Art minimal -- Catalogues d'exposition
Vide -- Dans l'art -- Catalogues d'expositionIndex. décimale : 7.039 Art contemporain Résumé :
Si le vide est pour Yves Klein un moyen de signaler l'état sensible, il représente en revanche l'apogée de l'art conceptuel et minimal pour Robert Barry avec Some places to which we can come, and for a while 'be free to think about what we are going to do.' (Marcuse), [« Des lieux où nous pouvons venir, et pour un moment, « être libre de penser à ce que nous allons faire ». (Marcuse) »], œuvre initiée en 1970.
Il peut aussi résulter du désir de brouiller la compréhension des espaces d'expositions, comme dans l'œuvre The Air-Conditioning Show d'Art & Language (1966-1967), ou de vider une institution pour modifier notre expérience comme dans l'oeuvre de Stanley Brouwn.
Il traduit également la volonté de faire l'expérience des qualités d'un lieu d'exposition, comme pour Robert Irwin et son exposition réalisée à la ACE Gallery en 1970, ou pour Maria Nordman lors de son exposition à Krefeld en 1984.
Le vide représente aussi une forme de radicalité, comme celui créé par Laurie Parsons en 1990 à la galerie Lorence-Monk, qui annonce son renoncement à toute pratique artistique. Pour Bethan Huws et son œuvre Haus Esters Piece (1993), le vide permet de célébrer l'architecture du musée, signifiant que l'art y est déjà présent et qu'il n'est pas nécessaire d'y ajouter des œuvres d'art.
Le vide revêt presque le sens d'une revendication économique pour Maria Eichhorn qui, laissant son exposition vide à la Kunsthalle Bern en 2001, permet d'en consacrer le budget à la rénovation du bâtiment.
Avec More Silent than Ever (2006), Roman Ondak, quant à lui, laisse croire au spectateur qu'il y a plus que ce qui est laissé à voir.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 20166 7.039 COP Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible