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Chinese painting / James Francis Cahill
Titre : Chinese painting Type de document : texte imprimé Auteurs : James Francis Cahill (1926 - 2014) Editeur : [Geneva?] : Skira Année de publication : 1960 Importance : 211 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 29 cm Langues : Anglais (eng) Catégories : Peinture -- Chine
Peinture -- Chine -- 1368-1912 (Dynastie des Ming et dynastie Mandchoue)
Peinture -- Chine -- 220-618 (Trois Royaumes-Dynastie des Sui)
Peinture -- Chine -- 618-960 (Dynastie des Tang et les Cinq dynasties)
Peinture -- Chine -- 960-1368 (Dynasties des Song et des Yuan)
Peinture -- Chine -- Jusqu'à 221 av. J.-C.
Peinture chinoiseIndex. décimale : 7.03 (5) Histoire de l'art (Asie) Résumé : Note de contenu :
La peinture chinoise sur rouleaux est très célèbre. Elle se présente sous divers formats verticaux ou horizontaux, et le support peut être en soie ou en papier.
Mais il existe aussi de nombreuses peintures sur éventails de soie ou de papier.
Par ailleurs la peinture murale a été très employée dans les palais et dans les temples ; les tombes en ont conservées de vastes ensembles.Chinese painting [texte imprimé] / James Francis Cahill (1926 - 2014) . - [Geneva?] : Skira, 1960 . - 211 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm.
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Peinture -- Chine
Peinture -- Chine -- 1368-1912 (Dynastie des Ming et dynastie Mandchoue)
Peinture -- Chine -- 220-618 (Trois Royaumes-Dynastie des Sui)
Peinture -- Chine -- 618-960 (Dynastie des Tang et les Cinq dynasties)
Peinture -- Chine -- 960-1368 (Dynasties des Song et des Yuan)
Peinture -- Chine -- Jusqu'à 221 av. J.-C.
Peinture chinoiseIndex. décimale : 7.03 (5) Histoire de l'art (Asie) Résumé : Note de contenu :
La peinture chinoise sur rouleaux est très célèbre. Elle se présente sous divers formats verticaux ou horizontaux, et le support peut être en soie ou en papier.
Mais il existe aussi de nombreuses peintures sur éventails de soie ou de papier.
Par ailleurs la peinture murale a été très employée dans les palais et dans les temples ; les tombes en ont conservées de vastes ensembles.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Sl 19698 7.03 (5) CAH Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible La peinture chinoise / Emmanuelle Lesbre
Titre : La peinture chinoise Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Lesbre, Auteur ; Jianlong Liu, Auteur Editeur : Paris : Hazan Année de publication : 2004 Importance : 479 p. Présentation : ill. en noir et en coul., jaquette ill. en coul. Format : 31 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85025-922-7 Prix : 135 EUR Note générale : Bibliogr. p. 473-475. Index Langues : Français (fre) Catégories : Peinture -- Chine
Peinture de paysage -- Chine
Peinture de portraits -- Chine
Peinture et dessin d'animaux -- Chine
Peinture et dessin de fleurs -- Chine -- Ouvrages illustrésIndex. décimale : 7.03 (5) Histoire de l'art (Asie) Résumé : A travers une majorité d'oeuvres inédites en Occident, les auteurs entendent renouveler la vision occidentale de l'art pictural chinois. Optant pour une approche thématique, une meilleure répartition des oeuvres dans le temps et une plus grande diversité des genres illustrés, c'est une réévaluation des genres picturaux, de leur esthétique et de l'apport des dynasties qu'ils proposent ici.
Mal connue en Occident, la peinture chinoise y est invariablement présentée à travers les reproductions des mêmes oeuvres provenant du musée du Palais de Taiwan et des collections américaines. Le présent ouvrage bouleverse considérablement notre vision de l'art pictural chinois en mettant en lumière beaucoup d'oeuvres inédites. Cette réactualisation du corpus est à la fois le fruit d'une enquête minutieuse, et celui du programme de revalorisation de son patrimoine pictural mené par la Chine depuis les années 1980. Outre une vaste entreprise de catalogage à grande échelle, l'Institut central des beaux-arts de Pékin a mis en place un enseignement délivré par les meilleurs experts-conservateurs, ce qui a ouvert à Emmanuelle Lesbre un accès inespéré aux collections locales tout en lui procurant une double formation, pratique et théorique. Associée à Liu Jianlong, disciple principal de Yang Renkai, ex-directeur du musée de Liaoning, Emmanuelle Lesbre a pu étudier et faire photographier plus de trois cents oeuvres inédites en Occident provenant des musées de la Cité interdite à Pékin, des musées des Beaux-Arts de Shanghai, Nankin, Tianjin, Zhenjiang, Canton, des provinces du Liaoning, du Zhejiang et du Xinjiang, du musée de l'Histoire du Shaanxi (à Xi'an), des instituts archéologiques du Hebei, de la Mongolie, du Shanxi, de sanctuaires religieux (Dunhuang, au Gansu, Jueyuan si, au Sichuan, Yongle gong, Guangsheng si, et Yanshan si et Jiyi miao au Shanxi), ainsi que des collections particulières des héritiers des peintres contemporains (Li Keran, Pan Tianshou, Zhou Sicong, Fu Baoshi, etc.). Outre la volonté de révéler au public le meilleur de la peinture chinoise conservée en Chine, le choix des oeuvres répond ici à deux autres critères: une meilleure répartition des oeuvres dans le temps, et une plus grande diversité dans les genres illustrés. Au lieu que soient privilégiées la peinture de paysage de la dynastie des Song ou la «peinture de lettrés», les âges successivement traversés par la peinture chinoise sont représentés de façon plus équilibrée jusqu'aux deux dernières dynasties (Ming, 1368-1644 et Qing, 1644-1911) et à l'époque républicaine. Pour trouver des peintures antérieures au Song véritablement fiables du point de vue de la datation, ont été mises à contribution les découvertes archéologiques récentes et les peintures murales des édifices religieux. Le corpus de peintures murales religieuses est complété par les plus beaux exemplaires de peintures sur soie et sur papier rapportés de Dunhuang par Paul Pelliot et sir Aurel Stein en Europe. Les auteurs ont opté pour une approche thématique plus apte à éclairer les spécificités des traditions picturales chinoises que le conventionnel découpage chronologique. Ils se sont inspirés en cela de la classification par genres en vigueur à l'Académie impériale de peinture instituée par l'empereur Huizong des Song (début du XIIe siècle): peinture religieuse, portraits de femmes, peinture de paysage, peinture animalière, peinture de fleurs et d'oiseaux. À ces catégories, les auteurs en ont ajouté plusieurs autres, notamment la peinture édifiante, le portrait en général, les scènes de moeurs et la peinture des lettrés, dont sont abordés le style de vie et les techniques de la vis monochrome. Par sa richesse et son originalité, cet ouvrage constitue une véritable somme qui renouvelle de manière fondamentale notre vision de la peinture chinoise, forte de plus de deux millénaires de développement et d'invention. Mal connue en Occident, la peinture chinoise y est invariablement présentée à travers les reproductions des mêmes oeuvres provenant du musée du Palais de Taiwan et des collections américaines.
La peinture chinoise [texte imprimé] / Emmanuelle Lesbre, Auteur ; Jianlong Liu, Auteur . - Paris : Hazan, 2004 . - 479 p. : ill. en noir et en coul., jaquette ill. en coul. ; 31 cm.
ISBN : 978-2-85025-922-7 : 135 EUR
Bibliogr. p. 473-475. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Peinture -- Chine
Peinture de paysage -- Chine
Peinture de portraits -- Chine
Peinture et dessin d'animaux -- Chine
Peinture et dessin de fleurs -- Chine -- Ouvrages illustrésIndex. décimale : 7.03 (5) Histoire de l'art (Asie) Résumé : A travers une majorité d'oeuvres inédites en Occident, les auteurs entendent renouveler la vision occidentale de l'art pictural chinois. Optant pour une approche thématique, une meilleure répartition des oeuvres dans le temps et une plus grande diversité des genres illustrés, c'est une réévaluation des genres picturaux, de leur esthétique et de l'apport des dynasties qu'ils proposent ici.
Mal connue en Occident, la peinture chinoise y est invariablement présentée à travers les reproductions des mêmes oeuvres provenant du musée du Palais de Taiwan et des collections américaines. Le présent ouvrage bouleverse considérablement notre vision de l'art pictural chinois en mettant en lumière beaucoup d'oeuvres inédites. Cette réactualisation du corpus est à la fois le fruit d'une enquête minutieuse, et celui du programme de revalorisation de son patrimoine pictural mené par la Chine depuis les années 1980. Outre une vaste entreprise de catalogage à grande échelle, l'Institut central des beaux-arts de Pékin a mis en place un enseignement délivré par les meilleurs experts-conservateurs, ce qui a ouvert à Emmanuelle Lesbre un accès inespéré aux collections locales tout en lui procurant une double formation, pratique et théorique. Associée à Liu Jianlong, disciple principal de Yang Renkai, ex-directeur du musée de Liaoning, Emmanuelle Lesbre a pu étudier et faire photographier plus de trois cents oeuvres inédites en Occident provenant des musées de la Cité interdite à Pékin, des musées des Beaux-Arts de Shanghai, Nankin, Tianjin, Zhenjiang, Canton, des provinces du Liaoning, du Zhejiang et du Xinjiang, du musée de l'Histoire du Shaanxi (à Xi'an), des instituts archéologiques du Hebei, de la Mongolie, du Shanxi, de sanctuaires religieux (Dunhuang, au Gansu, Jueyuan si, au Sichuan, Yongle gong, Guangsheng si, et Yanshan si et Jiyi miao au Shanxi), ainsi que des collections particulières des héritiers des peintres contemporains (Li Keran, Pan Tianshou, Zhou Sicong, Fu Baoshi, etc.). Outre la volonté de révéler au public le meilleur de la peinture chinoise conservée en Chine, le choix des oeuvres répond ici à deux autres critères: une meilleure répartition des oeuvres dans le temps, et une plus grande diversité dans les genres illustrés. Au lieu que soient privilégiées la peinture de paysage de la dynastie des Song ou la «peinture de lettrés», les âges successivement traversés par la peinture chinoise sont représentés de façon plus équilibrée jusqu'aux deux dernières dynasties (Ming, 1368-1644 et Qing, 1644-1911) et à l'époque républicaine. Pour trouver des peintures antérieures au Song véritablement fiables du point de vue de la datation, ont été mises à contribution les découvertes archéologiques récentes et les peintures murales des édifices religieux. Le corpus de peintures murales religieuses est complété par les plus beaux exemplaires de peintures sur soie et sur papier rapportés de Dunhuang par Paul Pelliot et sir Aurel Stein en Europe. Les auteurs ont opté pour une approche thématique plus apte à éclairer les spécificités des traditions picturales chinoises que le conventionnel découpage chronologique. Ils se sont inspirés en cela de la classification par genres en vigueur à l'Académie impériale de peinture instituée par l'empereur Huizong des Song (début du XIIe siècle): peinture religieuse, portraits de femmes, peinture de paysage, peinture animalière, peinture de fleurs et d'oiseaux. À ces catégories, les auteurs en ont ajouté plusieurs autres, notamment la peinture édifiante, le portrait en général, les scènes de moeurs et la peinture des lettrés, dont sont abordés le style de vie et les techniques de la vis monochrome. Par sa richesse et son originalité, cet ouvrage constitue une véritable somme qui renouvelle de manière fondamentale notre vision de la peinture chinoise, forte de plus de deux millénaires de développement et d'invention. Mal connue en Occident, la peinture chinoise y est invariablement présentée à travers les reproductions des mêmes oeuvres provenant du musée du Palais de Taiwan et des collections américaines.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 23645 7.03 (5) LES Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible Vide et plein / François Cheng
Titre : Vide et plein : le langage pictural chinois Type de document : texte imprimé Auteurs : François Cheng (1929-....), Auteur Mention d'édition : [Nouvelle édition] Editeur : Paris : Editions du Seuil Année de publication : 1991 Importance : 157 p., xxvii p. d'ill. Présentation : ill. en n. et b. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-012575-8 Langues : Français (fre) Catégories : Peinture -- Chine
Sémiotique et art
Vide -- Dans l'artIndex. décimale : 7.01 Esthétique, philosophie de l'art Résumé :
L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, "plus vrai que la Nature elle-même" (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles : d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de forces ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide : "Dans la peinture comme dans l'Univers, sans le Vide, les souffles ne circuleraient pas, le Yin-Yang n'opérerait pas." Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait lui-même.
C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise ; celles-ci forment un système signifiant auquel François Cheng est le premier à appliquer ici une analyse sémiologique. Mais le commentaire, loin d'écraser son objet, le fait au contraire resplendir à travers d'amples citations, des reproductions, et surtout l'étude du peintre Shih-t'ao.Vide et plein : le langage pictural chinois [texte imprimé] / François Cheng (1929-....), Auteur . - [Nouvelle édition] . - Paris : Editions du Seuil, 1991 . - 157 p., xxvii p. d'ill. : ill. en n. et b. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-02-012575-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Peinture -- Chine
Sémiotique et art
Vide -- Dans l'artIndex. décimale : 7.01 Esthétique, philosophie de l'art Résumé :
L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, "plus vrai que la Nature elle-même" (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles : d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de forces ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide : "Dans la peinture comme dans l'Univers, sans le Vide, les souffles ne circuleraient pas, le Yin-Yang n'opérerait pas." Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait lui-même.
C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise ; celles-ci forment un système signifiant auquel François Cheng est le premier à appliquer ici une analyse sémiologique. Mais le commentaire, loin d'écraser son objet, le fait au contraire resplendir à travers d'amples citations, des reproductions, et surtout l'étude du peintre Shih-t'ao.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 22900 7.01 CHENG Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible