| Titre : |
La tour blanche : le livre des étés |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Pablo Auladell (1972-....), Auteur ; Benoît Mitaine, Traducteur |
| Editeur : |
[Arles] : Actes Sud |
| Année de publication : |
impr. 2010 |
| Collection : |
Actes-Sud-l'An 2, ISSN 1964-7352 |
| Importance : |
92 p. |
| Présentation : |
ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. |
| Format : |
24 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7427-9260-3 |
| Prix : |
18 EUR |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
| Catégories : |
Auladell, Pablo (1972-....)
Bandes dessinées -- Espagne -- 2000-2010
|
| Index. décimale : |
741.5(092) Auteurs de BD |
| Résumé : |
Un homme revient dans la petite station balnéaire où il passait autrefois ses vacances. Hanté par la magie des étés de son enfance, il revit toutes sortes de détails appartenant à sa mythologie intime. Il a gardé intactes les sensations de son premier amour, qui constituent son trésor le plus précieux. La petite fille d'hier doit être une femme à présent. Toutefois ce n'est pas elle, mais une de ses copines, celle que l'on surnommait « Méduse », que l'homme retrouve et avec qui il entame un pas de deux hésitant.
La « Tour Blanche » n'est, après tout, qu'un banal immeuble d'appartements planté face à la plage.
Avec les années, on tisse une mythologie intime, secrète, faite de lieux et d'êtres que nous avons crus un temps éternels et à l'abri du changement. Aux yeux des autres, ils apparaissent comme banals, courants, quotidiens, mais ils sont en réalité notre trésor le plus cher, notre paysage perdu, notre rêve obsédant. Il en va ainsi de la Tour Blanche. Qui poserait son regard sur ce bâtiment n'y verrait qu'une tour d'appartements parmi d'autres, au bord de la plage. Mais pour certains, elle est le lieu lumineux et lointain de l'innocence assassinée.
Le récit progresse selon deux plan narratifs montés en alternance : le passé est évoqué en couleur, le présent en noir, blanc et gris. Le dessin d'Auladell est aussi délicat que sa peinture des sentiments. Son style d'une grande élégance ressuscite toute la luminosité des étés perdus qui ne reviendront pas... |
La tour blanche : le livre des étés [texte imprimé] / Pablo Auladell (1972-....), Auteur ; Benoît Mitaine, Traducteur . - [Arles] : Actes Sud, impr. 2010 . - 92 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - ( Actes-Sud-l'An 2, ISSN 1964-7352) . ISBN : 978-2-7427-9260-3 : 18 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
| Catégories : |
Auladell, Pablo (1972-....)
Bandes dessinées -- Espagne -- 2000-2010
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| Index. décimale : |
741.5(092) Auteurs de BD |
| Résumé : |
Un homme revient dans la petite station balnéaire où il passait autrefois ses vacances. Hanté par la magie des étés de son enfance, il revit toutes sortes de détails appartenant à sa mythologie intime. Il a gardé intactes les sensations de son premier amour, qui constituent son trésor le plus précieux. La petite fille d'hier doit être une femme à présent. Toutefois ce n'est pas elle, mais une de ses copines, celle que l'on surnommait « Méduse », que l'homme retrouve et avec qui il entame un pas de deux hésitant.
La « Tour Blanche » n'est, après tout, qu'un banal immeuble d'appartements planté face à la plage.
Avec les années, on tisse une mythologie intime, secrète, faite de lieux et d'êtres que nous avons crus un temps éternels et à l'abri du changement. Aux yeux des autres, ils apparaissent comme banals, courants, quotidiens, mais ils sont en réalité notre trésor le plus cher, notre paysage perdu, notre rêve obsédant. Il en va ainsi de la Tour Blanche. Qui poserait son regard sur ce bâtiment n'y verrait qu'une tour d'appartements parmi d'autres, au bord de la plage. Mais pour certains, elle est le lieu lumineux et lointain de l'innocence assassinée.
Le récit progresse selon deux plan narratifs montés en alternance : le passé est évoqué en couleur, le présent en noir, blanc et gris. Le dessin d'Auladell est aussi délicat que sa peinture des sentiments. Son style d'une grande élégance ressuscite toute la luminosité des étés perdus qui ne reviendront pas... |
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