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Le grand livre de la calligraphie / Gaye Godfrey-Nicholls
Titre : Le grand livre de la calligraphie : outils et techniques d'aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaye Godfrey-Nicholls, Auteur Editeur : [Paris] : Pyramyd Année de publication : DL 2013, cop. 2012 Importance : 1 vol. (288 p.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35017-298-9 Prix : 38,90 EUR Catégories : Calligraphie -- Manuels d'amateurs
Écriture
Lettrage--Manuels d'amateursIndex. décimale : 766.123 Typographie Résumé :
Le grand livre de la calligraphie se présente comme une véritable encyclopédie autour de cet art.
Il met à la disposition des apprentis calligraphes et des artistes plus chevronnés les techniques de base et les pratiques créatives les plus innovantes.
Rappels historiques, présentation des outils et explication des pratiques principales d’écriture constituent une entrée en matière précise.
L’auteur nous dévoile ensuite les secrets des quinze alphabets les plus courants, et le lecteur est invité à les reproduire grâce à de multiples exercices.
L’ouvrage aborde également des techniques d’embellissement, de mise en pages, et des applications de la calligraphie à l’univers du numérique.
Des interviews de calligraphes contemporains, des pas à pas et des reproductions des plus belles oeuvres du domaine ponctuent ce parcours artistique.Le grand livre de la calligraphie : outils et techniques d'aujourd'hui [texte imprimé] / Gaye Godfrey-Nicholls, Auteur . - [Paris] : Pyramyd, DL 2013, cop. 2012 . - 1 vol. (288 p.) : ill. en noir et en coul. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-35017-298-9 : 38,90 EUR
Catégories : Calligraphie -- Manuels d'amateurs
Écriture
Lettrage--Manuels d'amateursIndex. décimale : 766.123 Typographie Résumé :
Le grand livre de la calligraphie se présente comme une véritable encyclopédie autour de cet art.
Il met à la disposition des apprentis calligraphes et des artistes plus chevronnés les techniques de base et les pratiques créatives les plus innovantes.
Rappels historiques, présentation des outils et explication des pratiques principales d’écriture constituent une entrée en matière précise.
L’auteur nous dévoile ensuite les secrets des quinze alphabets les plus courants, et le lecteur est invité à les reproduire grâce à de multiples exercices.
L’ouvrage aborde également des techniques d’embellissement, de mise en pages, et des applications de la calligraphie à l’univers du numérique.
Des interviews de calligraphes contemporains, des pas à pas et des reproductions des plus belles oeuvres du domaine ponctuent ce parcours artistique.Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Sl 19485 766.123 GOD Livre ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible n°29 (2014-2015) - 2014-01-01 - Dossier : le dessin dans un champ élargi (Bulletin de La part de l'œil)
[n° ou bulletin]
Titre : n°29 (2014-2015) - 2014-01-01 - Dossier : le dessin dans un champ élargi Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : Amer, Ghada (1963-....)
Art conceptuel
Arts graphiques
Bismuth, Pierre (1964-....)
Braque, Georges (1882-1963)
Couleur (philosophie)
Cubisme
Derrida, Jacques (1930-2004)
Dessin
Écriture
Esthétique
Figures (perception visuelle)
Griffonnage
Guerbadot, Bernard (1948-2005)
Ligne (art)
Mallarmé, Stéphane (1842-1898)
Mehretu, Julie (1970-....)
Papier -- Dans l'art
Philosophie de l'art
Picasso, Pablo (1881-1973)
Poésie - Dans l'artIndex. décimale : 7 Arts et Beaux-Arts Note de contenu : Auteur(s) : Philip Armstrong, Jean Arnaud, Pierre Baumann, Michel Guérin, Adnen Jdey, Laura Lisbon, Lucien Massaert, Chakè Matossian, Sylvie Pic, Jackie Pigeaud, Raphaël Pirenne, Michael Schwab, Tristan Trémeau
La phrase de Philippe-Alain Michaud : « le dessin ignore sa propre direction : il n’anticipe rien, il ne se projette pas en avant, mais fait remonter à la surface des phénomènes visuels latents » pourrait servir d’exergue à ce volume en ce qu’elle prend à rebours les définitions traditionnelles du dessin comme délinéation ou esquisse.
Le dessin continue d’engendrer bon nombre de questionnements et de réflexions, comme en témoignent les différents textes réunis ici et dont nous ne pouvons qu’indiquer sommairement les pistes choisies. Ainsi Philip Armstrong nous montre-t-il, à partir du Coup de dés de Mallarmé, comment une lecture du poème s’ouvre vers le dessin.
Prenant le dessin comme prétexte pour interroger le geste créateur, la mise en forme, Jackie Pigeaud rassemble les termes d’une esthétique : l’ingenium, l’articulation, la jointure, la frange, le mélange, la variété, la fusion, l’éblouissement sont autant d’attitudes et de gestes qui conjoignent chez l’artiste “une intention pratique précise et une finalité esthétique”.
De même, Michel Guérin propose de déloger l’intention plastique de l’amont pour la penser dans sa concomitance avec les procès et opérations du dessin. Un “dessin du milieu” capte les états transitoires d’une figure des possibles bien éloignée de la forme fermée du contour. La dimension tactile du dessin se retrouve dans le griffonnement dont Chakè Matossian explore la puissance de vie, ses effets de désubjectivation de même que la force de (sur)vie portés par la trace et le geste graphiques.
En se demandant si le dessin, à la différence de la peinture, peut accepter son fond comme déjà donné, Laura Lisbon, à travers ses dispositifs, pense le dessin comme une production de peinture. Raphael Pirenne repère au contraire une “signature graphique” et “une contamination graphique de la peinture” de Braque et Picasso qui se radicalisent ensuite dans les papiers collés de l’automne 1912.
Trois artistes, Michael Schwab, Pierre Baumann et Sylvie Pic, présentent ici leurs démarches dans toutes leurs richesses et leurs complexités. Michael Schwab met en œuvre la notion de “figure” comme processus qui perturbe la simple visibilité, tout comme Jean Arnaud évoque une crise du visible au travers d’une saturation du dessin dans les œuvres de trois artistes contemporains majeurs : Ghada Amer, Pierre Bismuth et Julie Mehretu. Pierre Baumann joue des différents modes de la projection depuis la lumière dans la camera obscura jusqu’aux projections matérielles dans le processus du poncif chez Léonard ou Duchamp prenant en compte le contact matériel jusqu’au relief du papier. Sylvie Pic, dans son travail de topologie, revendique une approche morphologique de la “chair du monde”, le geste et la main intègrent, “incorporent” la forme. Tristan Trémeau, retrace quant à lui les différents moments de l’œuvre de Bernard Guerbadot dont une part non négligeable relève du dessin.
Enfin, Adnen Jdey nous offre une étude consacrée aux déplacements que Derrida opère depuis La voix et le phénomène jusqu’à Mémoire d’aveugle, depuis la mise en cause de l’évidence intuitive jusqu’au retour sur la cécité et la suspension de la visibilité où nous conduit la question du dessin.
Tant les excès du griffonnage que ceux de la saturation, tant le retrait que l’effacement nous montrent que la force du dessin réside dans sa capacité à subvertir tout principe d’identité, à rendre impossible toute tentative d’assignation.
Sommaire
Lucien Massaert : Liminaire – Le triple d’une réserve
Philip Armstrong : Mallarmé à travers
Jean Arnaud : Le dessin saturé. Réflexions sur quelques œuvres graphiques contemporaines (Ghada Amer, Pierre Bismuth, Julie Mehretu)
Pierre Baumann : Drawing, carve, bore and be bored
Michel Guérin : L’intention plastique
Adnen Jdey : L’Augenblick, le dessin et le quasi-transcendantal
Jacques Derrida et la clôture de la phénoménologie
Laura Lisbon : Les limites du dessin
Peinture, dessin, “set-ups”
Chakè Matossian : Gribouiller, griffonner : le dessin à l'œuvre
Sylvie Pic : “Ce que le dessin me permet”
ou ce que je n'ai pas dessiné, je ne l'ai pas vu
Jackie Pigeaud : Du geste et de sa nature
Raphaël Pirenne : Signe, signature et contresignature. Notes sur le cubisme de Braque et de Picasso, 1907-1914
Michael Schwab : Dessiner le trans-corps
Tristan Trémeau : Des œuvres sans repos. Au sujet de l'œuvre de Bernard GuerbadotEn ligne : http://www.lapartdeloeil.be/fr/revues_details.php?vid=24 [n° ou bulletin] n°29 (2014-2015) - 2014-01-01 - Dossier : le dessin dans un champ élargi [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
Catégories : Amer, Ghada (1963-....)
Art conceptuel
Arts graphiques
Bismuth, Pierre (1964-....)
Braque, Georges (1882-1963)
Couleur (philosophie)
Cubisme
Derrida, Jacques (1930-2004)
Dessin
Écriture
Esthétique
Figures (perception visuelle)
Griffonnage
Guerbadot, Bernard (1948-2005)
Ligne (art)
Mallarmé, Stéphane (1842-1898)
Mehretu, Julie (1970-....)
Papier -- Dans l'art
Philosophie de l'art
Picasso, Pablo (1881-1973)
Poésie - Dans l'artIndex. décimale : 7 Arts et Beaux-Arts Note de contenu : Auteur(s) : Philip Armstrong, Jean Arnaud, Pierre Baumann, Michel Guérin, Adnen Jdey, Laura Lisbon, Lucien Massaert, Chakè Matossian, Sylvie Pic, Jackie Pigeaud, Raphaël Pirenne, Michael Schwab, Tristan Trémeau
La phrase de Philippe-Alain Michaud : « le dessin ignore sa propre direction : il n’anticipe rien, il ne se projette pas en avant, mais fait remonter à la surface des phénomènes visuels latents » pourrait servir d’exergue à ce volume en ce qu’elle prend à rebours les définitions traditionnelles du dessin comme délinéation ou esquisse.
Le dessin continue d’engendrer bon nombre de questionnements et de réflexions, comme en témoignent les différents textes réunis ici et dont nous ne pouvons qu’indiquer sommairement les pistes choisies. Ainsi Philip Armstrong nous montre-t-il, à partir du Coup de dés de Mallarmé, comment une lecture du poème s’ouvre vers le dessin.
Prenant le dessin comme prétexte pour interroger le geste créateur, la mise en forme, Jackie Pigeaud rassemble les termes d’une esthétique : l’ingenium, l’articulation, la jointure, la frange, le mélange, la variété, la fusion, l’éblouissement sont autant d’attitudes et de gestes qui conjoignent chez l’artiste “une intention pratique précise et une finalité esthétique”.
De même, Michel Guérin propose de déloger l’intention plastique de l’amont pour la penser dans sa concomitance avec les procès et opérations du dessin. Un “dessin du milieu” capte les états transitoires d’une figure des possibles bien éloignée de la forme fermée du contour. La dimension tactile du dessin se retrouve dans le griffonnement dont Chakè Matossian explore la puissance de vie, ses effets de désubjectivation de même que la force de (sur)vie portés par la trace et le geste graphiques.
En se demandant si le dessin, à la différence de la peinture, peut accepter son fond comme déjà donné, Laura Lisbon, à travers ses dispositifs, pense le dessin comme une production de peinture. Raphael Pirenne repère au contraire une “signature graphique” et “une contamination graphique de la peinture” de Braque et Picasso qui se radicalisent ensuite dans les papiers collés de l’automne 1912.
Trois artistes, Michael Schwab, Pierre Baumann et Sylvie Pic, présentent ici leurs démarches dans toutes leurs richesses et leurs complexités. Michael Schwab met en œuvre la notion de “figure” comme processus qui perturbe la simple visibilité, tout comme Jean Arnaud évoque une crise du visible au travers d’une saturation du dessin dans les œuvres de trois artistes contemporains majeurs : Ghada Amer, Pierre Bismuth et Julie Mehretu. Pierre Baumann joue des différents modes de la projection depuis la lumière dans la camera obscura jusqu’aux projections matérielles dans le processus du poncif chez Léonard ou Duchamp prenant en compte le contact matériel jusqu’au relief du papier. Sylvie Pic, dans son travail de topologie, revendique une approche morphologique de la “chair du monde”, le geste et la main intègrent, “incorporent” la forme. Tristan Trémeau, retrace quant à lui les différents moments de l’œuvre de Bernard Guerbadot dont une part non négligeable relève du dessin.
Enfin, Adnen Jdey nous offre une étude consacrée aux déplacements que Derrida opère depuis La voix et le phénomène jusqu’à Mémoire d’aveugle, depuis la mise en cause de l’évidence intuitive jusqu’au retour sur la cécité et la suspension de la visibilité où nous conduit la question du dessin.
Tant les excès du griffonnage que ceux de la saturation, tant le retrait que l’effacement nous montrent que la force du dessin réside dans sa capacité à subvertir tout principe d’identité, à rendre impossible toute tentative d’assignation.
Sommaire
Lucien Massaert : Liminaire – Le triple d’une réserve
Philip Armstrong : Mallarmé à travers
Jean Arnaud : Le dessin saturé. Réflexions sur quelques œuvres graphiques contemporaines (Ghada Amer, Pierre Bismuth, Julie Mehretu)
Pierre Baumann : Drawing, carve, bore and be bored
Michel Guérin : L’intention plastique
Adnen Jdey : L’Augenblick, le dessin et le quasi-transcendantal
Jacques Derrida et la clôture de la phénoménologie
Laura Lisbon : Les limites du dessin
Peinture, dessin, “set-ups”
Chakè Matossian : Gribouiller, griffonner : le dessin à l'œuvre
Sylvie Pic : “Ce que le dessin me permet”
ou ce que je n'ai pas dessiné, je ne l'ai pas vu
Jackie Pigeaud : Du geste et de sa nature
Raphaël Pirenne : Signe, signature et contresignature. Notes sur le cubisme de Braque et de Picasso, 1907-1914
Michael Schwab : Dessiner le trans-corps
Tristan Trémeau : Des œuvres sans repos. Au sujet de l'œuvre de Bernard GuerbadotEn ligne : http://www.lapartdeloeil.be/fr/revues_details.php?vid=24 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 20226 Part de l'oeil Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : no229(2016:janv./fév.) - 2016-01-01 - Signes et symboles : La lettre et ses codes. Le renouveau héraldique. Lance Wyman. Emoji Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Catégories : Design
Écriture
Graphisme
Héraldique
Icônes (infographie)
Signes et symboles
Wyman, Lance (1937-....)Index. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : L’histoire de l’écriture offre un éclairage sur le besoin d’abstraction élaboré par le développement des sociétés humaines. Excroissance du dessin, selon le linguiste américain Leonard Bloomfield, l’écriture a commencé avec des images, lesquelles, comme elles venaient à tenir lieu de mots, puis de syllabes, se firent de plus en plus abstraites, poursuit Robert Bringhurst dans La Forme solide du langage. Ce glissement, depuis la représentation du monde jusqu’à la représentation du son, offre la possibilité au lecteur de prononcer un mot sans en connaître sa signification. Auparavant, la picturalité de l’écriture permettait au contraire une reconnaissance des objets évoqués, une compréhension silencieuse, mais détachée d’un langage articulé. La voix s’est donc petit à petit imposée à l’écriture, soumettant l’image d’un mot à l’épreuve physique de la vocalité, la traversée du corps. Les signes regroupés dans ce dossier “Signes et symboles” font écho aux premières formes d’écriture de par leur nature non phonétique. Concentrés d’expression, ils peuvent être lus comme des images. Les tracés, les gestes et les esthétiques qui les composent méritent une attention particulière.
Le 23 novembre dernier disparaissait Pierre Bernard. Cofondateur du collectif Grapus, codirecteur artistique du Festival de l’affiche et du graphisme de Chaumont, directeur de l’Atelier de création graphique, ce graphiste, récompensé en 2006 par le prix Érasme, est une de ces personnes dont il est important de conserver une mémoire publique : pour l’humanité et le souci du bien commun engagés dans son travail, pour la qualité et l’intelligence avec laquelle il s’adressait à tous. Lui aussi accordait à l’expression du geste, du tracé, une importance particulière. Si ses travaux graphiques sont autant de traces, de mémoire de sa pratique et de sa façon d’exister “graphiste”, la compréhension silencieuse de ses images demande à être complétée de mots, de syllabes, de sons, de voix, de témoignages. Trop peu de choses ont été écrites à son sujet. Le verbe est un exutoire.En ligne : http://etapes.com/etapes-229 [n° ou bulletin] no229(2016:janv./fév.) - 2016-01-01 - Signes et symboles : La lettre et ses codes. Le renouveau héraldique. Lance Wyman. Emoji [texte imprimé] . - 2016.
Langues : Français (fre)
Catégories : Design
Écriture
Graphisme
Héraldique
Icônes (infographie)
Signes et symboles
Wyman, Lance (1937-....)Index. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : L’histoire de l’écriture offre un éclairage sur le besoin d’abstraction élaboré par le développement des sociétés humaines. Excroissance du dessin, selon le linguiste américain Leonard Bloomfield, l’écriture a commencé avec des images, lesquelles, comme elles venaient à tenir lieu de mots, puis de syllabes, se firent de plus en plus abstraites, poursuit Robert Bringhurst dans La Forme solide du langage. Ce glissement, depuis la représentation du monde jusqu’à la représentation du son, offre la possibilité au lecteur de prononcer un mot sans en connaître sa signification. Auparavant, la picturalité de l’écriture permettait au contraire une reconnaissance des objets évoqués, une compréhension silencieuse, mais détachée d’un langage articulé. La voix s’est donc petit à petit imposée à l’écriture, soumettant l’image d’un mot à l’épreuve physique de la vocalité, la traversée du corps. Les signes regroupés dans ce dossier “Signes et symboles” font écho aux premières formes d’écriture de par leur nature non phonétique. Concentrés d’expression, ils peuvent être lus comme des images. Les tracés, les gestes et les esthétiques qui les composent méritent une attention particulière.
Le 23 novembre dernier disparaissait Pierre Bernard. Cofondateur du collectif Grapus, codirecteur artistique du Festival de l’affiche et du graphisme de Chaumont, directeur de l’Atelier de création graphique, ce graphiste, récompensé en 2006 par le prix Érasme, est une de ces personnes dont il est important de conserver une mémoire publique : pour l’humanité et le souci du bien commun engagés dans son travail, pour la qualité et l’intelligence avec laquelle il s’adressait à tous. Lui aussi accordait à l’expression du geste, du tracé, une importance particulière. Si ses travaux graphiques sont autant de traces, de mémoire de sa pratique et de sa façon d’exister “graphiste”, la compréhension silencieuse de ses images demande à être complétée de mots, de syllabes, de sons, de voix, de témoignages. Trop peu de choses ont été écrites à son sujet. Le verbe est un exutoire.En ligne : http://etapes.com/etapes-229 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SL 19718 ETAPES Fascicule ESA Saint-Luc Beaux-Arts - Biblio Disponible