ESA SAINT-LUC LIEGE BIBLIOTHEQUE
ACCES COMPTE LECTEUR :
à la demande via l'adresse mail de la bibliothèque.
Arts - Antiques - Auctions : collect . N°536(2024 ; septembre)Taeauber & Arp. Emile Claus. Proximus Art CollectionMention de date : 2024-09-01 Paru le : 01/09/2024 |
[n° ou bulletin]
[n° ou bulletin]
N°536(2024 ; septembre) - 2024-09-01 - Taeauber & Arp. Emile Claus. Proximus Art Collection [texte imprimé] . - 2024. Langues : Français (fre)
|
Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
SL 28115 | Arts Antiques Auctions Collect | Fascicule | ESA Saint-Luc | Beaux-Arts - Biblio | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉmile Claus : star du luminisme / Christophe Dosogne in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Émile Claus : star du luminisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Dosogne, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 16-21 Langues : Français (fre) Catégories : CLAUS, Emile (1849-1924)
Impressionnisme (peinture) -- Belgique
Luminisme (peinture)
Peinture -- Belgique -- 19e siècleIndex. décimale : 75(092) Peintres Résumé : En bord de Lys, la ville de Deinze rend cet automne hommage à l’enfant du pays, Emile Claus, décédé il y a tout juste un siècle et considéré comme la figure de proue du luminisme.
TEXTE: Christophe Dosogne
Peintre de tradition impressionniste, Emile Claus (1849-1924) a principalement peint des paysages humides et vaporeux, représentant souvent des vues de campagne traversée par les douces ondulations de la Lys. Formé entre 1869 et 1874, à l’Académie d’Anvers, où il a suivi les cours de Nicaise de Keyser et de Jacob Jacobsz, il expose pour la première fois à Bruxelles, en 1875, une peinture teintée de réalisme, avant de partir, en 1879, poursuivre sa formation en Afrique du Nord, où la lumière le marque profondément. Guidé à son retour par Théo Verstraete, il n’aura de cesse d’en faire le centre de sa peinture, usant pour ce faire des couleurs élémentaires et décomposant le prisme et la réfraction chromatique par le biais de tons presque bruts. Dès 1882, il s’installe à Astene, village voisin de Laethem-Saint-Martin, où il nomme sa villa du bord de Lys Zonneschijn (rayon de soleil). A ce propos, James Ensor dira : « C’est là qu’il tirera le soleil en bouteille ». La même année, sa notoriété décolle lorsque ses peintures, aux sujets encore réalistes et pittoresques, dans la veine de Jules Bastien-Lepage, notamment Combat de coqs en Flandre, sont exposées à Paris. Son travail attire rapidement l’attention de la bourgeoisie locale et séduit jusqu’à la famille royale belge, qui fait l’acquisition d’une de ses toiles. En 1888, il se rend dans la capitale française où il tombe évidemment sous le charme triomphant de la peinture impressionniste. Régulièrement, il reviendra dans cette ville-lumière, où il a loué un atelier qu’il occupe l’hiver, notamment entre 1890 et 1892.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/ongecategoriseerd-fr/emile-claus-star-du-luminisme/
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 16-21[article] Émile Claus : star du luminisme [texte imprimé] / Christophe Dosogne, Auteur . - 2024 . - P. 16-21.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 16-21
Catégories : CLAUS, Emile (1849-1924)
Impressionnisme (peinture) -- Belgique
Luminisme (peinture)
Peinture -- Belgique -- 19e siècleIndex. décimale : 75(092) Peintres Résumé : En bord de Lys, la ville de Deinze rend cet automne hommage à l’enfant du pays, Emile Claus, décédé il y a tout juste un siècle et considéré comme la figure de proue du luminisme.
TEXTE: Christophe Dosogne
Peintre de tradition impressionniste, Emile Claus (1849-1924) a principalement peint des paysages humides et vaporeux, représentant souvent des vues de campagne traversée par les douces ondulations de la Lys. Formé entre 1869 et 1874, à l’Académie d’Anvers, où il a suivi les cours de Nicaise de Keyser et de Jacob Jacobsz, il expose pour la première fois à Bruxelles, en 1875, une peinture teintée de réalisme, avant de partir, en 1879, poursuivre sa formation en Afrique du Nord, où la lumière le marque profondément. Guidé à son retour par Théo Verstraete, il n’aura de cesse d’en faire le centre de sa peinture, usant pour ce faire des couleurs élémentaires et décomposant le prisme et la réfraction chromatique par le biais de tons presque bruts. Dès 1882, il s’installe à Astene, village voisin de Laethem-Saint-Martin, où il nomme sa villa du bord de Lys Zonneschijn (rayon de soleil). A ce propos, James Ensor dira : « C’est là qu’il tirera le soleil en bouteille ». La même année, sa notoriété décolle lorsque ses peintures, aux sujets encore réalistes et pittoresques, dans la veine de Jules Bastien-Lepage, notamment Combat de coqs en Flandre, sont exposées à Paris. Son travail attire rapidement l’attention de la bourgeoisie locale et séduit jusqu’à la famille royale belge, qui fait l’acquisition d’une de ses toiles. En 1888, il se rend dans la capitale française où il tombe évidemment sous le charme triomphant de la peinture impressionniste. Régulièrement, il reviendra dans cette ville-lumière, où il a loué un atelier qu’il occupe l’hiver, notamment entre 1890 et 1892.En ligne : https://www.collectaaa.be/fr/ongecategoriseerd-fr/emile-claus-star-du-luminisme/ Sophie Taeuber et Jean Arp : singulier couple créatif / Anne Hustache in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Sophie Taeuber et Jean Arp : singulier couple créatif Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Hustache, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 22-25 Langues : Français (fre) Catégories : Arp, Jean (1887-1966)
Art abstrait -- France -- 20e siècle
Dadaïsme
Surréalisme (art) -- France
Taeuber-Arp, Sophie (1889-1943)Index. décimale : 75(092) Peintres Résumé : Ils étaient déjà chacun artiste avant de se rencontrer et ont formé un couple non seulement en se passant la bague au doigt mais un pratiquant une œuvre commune autant que singulière car, forte de sa vie propre, cette œuvre ne correspondait pas à celle que chacun des deux artistes poursuivait personnellement. Cela rend plus fascinant encore le parcours de ce duo hors du commun.
TEXTE: Anne Hustache
Ils étaient déjà chacun artiste avant de se rencontrer et ont formé un couple non seulement en se passant la bague au doigt mais un pratiquant une œuvre commune autant que singulière car, forte de sa vie propre, cette œuvre ne correspondait pas à celle que chacun des deux artistes poursuivait personnellement. Cela rend plus fascinant encore le parcours de ce duo hors du commun.
Comme le rappelle Walburga Krupp, dans le catalogue de l’exposition qui s’ouvre cet automne au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et dont elle est commissaire : « Arp et Taeuber se sont rencontrés pour la première fois en 1915 à la Galerie Tanner de Zurich, où Arp était exposé aux côtés d’Otto et Adya van Rees-Dutilh dans Moderne Wandteppiche, Stickereien, Malereien, Zeichnungen. Dans l’avant-propos du catalogue, Arp souligne son unicité car centrée sur les textiles ainsi que sur l’abstraction : « Les œuvres sont des structures de lignes, de plans, de formes, de couleurs. » Ce qui était conforme à l’approche de Taeuber d’un art non hiérarchique et permettait aux deux artistes d’entrer dans un dialogue qui en fit des amis, des amants et des partenaires. » Lorsqu’ils se rencontrent, Sophie Taeuber et Jean Arp ont déjà posé les premiers pas dans leur cheminement artistique. Ils se reconnaissent dans leur désir d’ouvrir de nouveaux espaces à l’art traditionnel et d’ouvrir les frontières entre la peinture, la sculpture et les arts décoratifs. Cette exposition permet de découvrir à la fois le travail réalisé en commun et la voie personnelle que chacun a également emprunté.
UNE ABSTRACTION ASSUMMEE
Née à Davos, en Suisse, le 19 janvier 1889, Sophie Taeuber se forme à l’École des Arts et Métiers de Saint-Gall puis aux Ateliers d’apprentissage et d’essai pour les Arts libres et appliqués de Munich et à l’École des Arts appliqués de Hambourg, en 1912.
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 22-25[article] Sophie Taeuber et Jean Arp : singulier couple créatif [texte imprimé] / Anne Hustache, Auteur . - 2024 . - P. 22-25.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 22-25
Catégories : Arp, Jean (1887-1966)
Art abstrait -- France -- 20e siècle
Dadaïsme
Surréalisme (art) -- France
Taeuber-Arp, Sophie (1889-1943)Index. décimale : 75(092) Peintres Résumé : Ils étaient déjà chacun artiste avant de se rencontrer et ont formé un couple non seulement en se passant la bague au doigt mais un pratiquant une œuvre commune autant que singulière car, forte de sa vie propre, cette œuvre ne correspondait pas à celle que chacun des deux artistes poursuivait personnellement. Cela rend plus fascinant encore le parcours de ce duo hors du commun.
TEXTE: Anne Hustache
Ils étaient déjà chacun artiste avant de se rencontrer et ont formé un couple non seulement en se passant la bague au doigt mais un pratiquant une œuvre commune autant que singulière car, forte de sa vie propre, cette œuvre ne correspondait pas à celle que chacun des deux artistes poursuivait personnellement. Cela rend plus fascinant encore le parcours de ce duo hors du commun.
Comme le rappelle Walburga Krupp, dans le catalogue de l’exposition qui s’ouvre cet automne au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et dont elle est commissaire : « Arp et Taeuber se sont rencontrés pour la première fois en 1915 à la Galerie Tanner de Zurich, où Arp était exposé aux côtés d’Otto et Adya van Rees-Dutilh dans Moderne Wandteppiche, Stickereien, Malereien, Zeichnungen. Dans l’avant-propos du catalogue, Arp souligne son unicité car centrée sur les textiles ainsi que sur l’abstraction : « Les œuvres sont des structures de lignes, de plans, de formes, de couleurs. » Ce qui était conforme à l’approche de Taeuber d’un art non hiérarchique et permettait aux deux artistes d’entrer dans un dialogue qui en fit des amis, des amants et des partenaires. » Lorsqu’ils se rencontrent, Sophie Taeuber et Jean Arp ont déjà posé les premiers pas dans leur cheminement artistique. Ils se reconnaissent dans leur désir d’ouvrir de nouveaux espaces à l’art traditionnel et d’ouvrir les frontières entre la peinture, la sculpture et les arts décoratifs. Cette exposition permet de découvrir à la fois le travail réalisé en commun et la voie personnelle que chacun a également emprunté.
UNE ABSTRACTION ASSUMMEE
Née à Davos, en Suisse, le 19 janvier 1889, Sophie Taeuber se forme à l’École des Arts et Métiers de Saint-Gall puis aux Ateliers d’apprentissage et d’essai pour les Arts libres et appliqués de Munich et à l’École des Arts appliqués de Hambourg, en 1912.Elen Braga : politique textile / Elien Haentjens in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Elen Braga : politique textile Type de document : texte imprimé Auteurs : Elien Haentjens, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 28-31 Langues : Français (fre) Catégories : Braga, Elen (1984-....)
Tapisserie -- Belgique -- 21e siècleMots-clés : Tuftage , Touffetage Index. décimale : 745.52 Tissage d'art, tapisserie, tissus
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 28-31[article] Elen Braga : politique textile [texte imprimé] / Elien Haentjens, Auteur . - 2024 . - P. 28-31.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 28-31
Catégories : Braga, Elen (1984-....)
Tapisserie -- Belgique -- 21e siècleMots-clés : Tuftage , Touffetage Index. décimale : 745.52 Tissage d'art, tapisserie, tissus Cindy Sherman: images prescriptives / Jean-Marc Bodson in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Cindy Sherman: images prescriptives Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Bodson, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 32-33 Langues : Français (fre) Catégories : Féminisme et art -- États-Unis -- 21e siècle
Sherman, Cindy (1954-....)Index. décimale : 77(092) Photographes Résumé : TEXTE: Jean-Marc Bodson
Avec les expositions Anti-Fashion et Early Works, le FOMU présente, pour la première fois en Belgique, un très large aperçu de l’œuvre profondément novateur de la photographe et artiste conceptuelle Cindy Sherman. C’est là une belle façon pour l’institution anversoise de participer à ENSOR 2024 puisque, comme le travail du peintre ostendais réputé pour ses ‘‘mascarades’’, celui de la photographe américaine invite à poser un regard critique sur les conventions sociales.
Les débuts de la notoriété de Cindy Sherman (1954) datent d’une époque où l’on croyait encore à la transparence de l’image, à sa capacité à nous offrir un reflet crédible du monde, que ce soit en photographie ou au cinéma. Pourtant, pour nombre de photographes de la fin de ces années 1970, la tendance propagandiste du documentaire ne faisait plus de doute. Pour en rendre compte, ils sortirent donc de son périmètre journalistique et investirent l’art contemporain à travers des œuvres fictionnelles. Cindy Sherman participa précocement à ce mouvement qu’on a circonscrit dans l’appellation ‘‘photographie plasticienne’’. Dès la fin de ses études de photographie, en 1977, elle entame la création de Untitled Film Stills, une série fictionnelle achevée trois ans plus tard, dans laquelle la jeune artiste incarne elle-même les personnages de pseudos photos extraites de films imaginaires des années 1950. En 69 (auto)portraits, elle y revisitait toute la panoplie des stéréotypes féminins, éclairant au passage le côté prescriptif des films produits par une industrie du cinéma pétrie de l’idéologie ambiante, machiste en diable et consumériste à tout crin. De la jeune urbaine, vigilante en rue, à la femme au foyer devant ‘‘son’’ évier, en passant par l’étudiante en bibliothèque ou la fille se pomponnant dans la salle de bain, le FOMU nous en montre une large sélection dans Early Works 1975 – 1980, seconde exposition vouée à présenter « les principales motivations et idées de Cindy Sherman ».
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 32-33[article] Cindy Sherman: images prescriptives [texte imprimé] / Jean-Marc Bodson, Auteur . - 2024 . - P. 32-33.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 32-33
Catégories : Féminisme et art -- États-Unis -- 21e siècle
Sherman, Cindy (1954-....)Index. décimale : 77(092) Photographes Résumé : TEXTE: Jean-Marc Bodson
Avec les expositions Anti-Fashion et Early Works, le FOMU présente, pour la première fois en Belgique, un très large aperçu de l’œuvre profondément novateur de la photographe et artiste conceptuelle Cindy Sherman. C’est là une belle façon pour l’institution anversoise de participer à ENSOR 2024 puisque, comme le travail du peintre ostendais réputé pour ses ‘‘mascarades’’, celui de la photographe américaine invite à poser un regard critique sur les conventions sociales.
Les débuts de la notoriété de Cindy Sherman (1954) datent d’une époque où l’on croyait encore à la transparence de l’image, à sa capacité à nous offrir un reflet crédible du monde, que ce soit en photographie ou au cinéma. Pourtant, pour nombre de photographes de la fin de ces années 1970, la tendance propagandiste du documentaire ne faisait plus de doute. Pour en rendre compte, ils sortirent donc de son périmètre journalistique et investirent l’art contemporain à travers des œuvres fictionnelles. Cindy Sherman participa précocement à ce mouvement qu’on a circonscrit dans l’appellation ‘‘photographie plasticienne’’. Dès la fin de ses études de photographie, en 1977, elle entame la création de Untitled Film Stills, une série fictionnelle achevée trois ans plus tard, dans laquelle la jeune artiste incarne elle-même les personnages de pseudos photos extraites de films imaginaires des années 1950. En 69 (auto)portraits, elle y revisitait toute la panoplie des stéréotypes féminins, éclairant au passage le côté prescriptif des films produits par une industrie du cinéma pétrie de l’idéologie ambiante, machiste en diable et consumériste à tout crin. De la jeune urbaine, vigilante en rue, à la femme au foyer devant ‘‘son’’ évier, en passant par l’étudiante en bibliothèque ou la fille se pomponnant dans la salle de bain, le FOMU nous en montre une large sélection dans Early Works 1975 – 1980, seconde exposition vouée à présenter « les principales motivations et idées de Cindy Sherman ».Ben n'a pas dit son dernier mot / Gilles Bechet in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Ben n'a pas dit son dernier mot Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Bechet, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 78-79 Langues : Français (fre) Catégories : Ben (1935-2024)
Écriture -- Dans l'art -- France -- 20e siècle
Écriture -- Dans l'art -- France -- 21e siècle
Fluxus (Groupe artistique)Index. décimale : 7.039(092) Artistes contemporains
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 78-79[article] Ben n'a pas dit son dernier mot [texte imprimé] / Gilles Bechet, Auteur . - 2024 . - P. 78-79.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 78-79
Catégories : Ben (1935-2024)
Écriture -- Dans l'art -- France -- 20e siècle
Écriture -- Dans l'art -- France -- 21e siècle
Fluxus (Groupe artistique)Index. décimale : 7.039(092) Artistes contemporains Le design intemporel de Gae Aulenti / Elien Haentjens in Arts - Antiques - Auctions : collect, N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01)
[article]
Titre : Le design intemporel de Gae Aulenti Type de document : texte imprimé Auteurs : Elien Haentjens, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 82-85 Langues : Français (fre) Catégories : Aulenti, Gae (1927-2012)
Femmes designers -- Italie -- 20e siècleIndex. décimale : 7.05(092) Designers Résumé : Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
TEXTE: Elien Haentjens
Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
Même si elle est un peu plus jeune que Charlotte Perriand et Eileen Gray, Gae Aulenti (1927-2012) appartient à la première génération des créatrices qui, en tant que pionnières, ont percé dans une discipline dominée par les hommes. Poussée par un besoin de voyager et de découvertes, Gae Aulenti choisit d’étudier les arts plastiques à Florence jusqu’à ce que survienne la Seconde Guerre mondiale. « À l’époque, elle était active dans la résistance », raconte Nina Bassoli, commissaire pour l’Architecture et le renouveau urbain à la Triennale de Milan. « Mue par cet engagement et sa soif de liberté, après la guerre, elle quitte la région du Frioul-Venise pour s’installer à Milan où elle étudie l’architecture à l’Université Polytechnique. Elle souhaite ainsi contribuer à la reconstruction du pays. » La Triennale de Milan joua un rôle majeur dans la carrière de la créatrice ; elle y exposa régulièrement et remporta plusieurs prix. Depuis 2007, c’est devenu un musée permanent et, cet automne, le lieu d’une première grande rétrospective organisée par Nina Bassoli, en collaboration avec le critique d’art Giovanni Agosti et Nina Artioli, directrice de l’Archivio Gae Aulenti et petite-fille de l’artiste.
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 82-85[article] Le design intemporel de Gae Aulenti [texte imprimé] / Elien Haentjens, Auteur . - 2024 . - P. 82-85.
Langues : Français (fre)
in Arts - Antiques - Auctions : collect > N°536(2024 ; septembre) (2024-09-01) . - P. 82-85
Catégories : Aulenti, Gae (1927-2012)
Femmes designers -- Italie -- 20e siècleIndex. décimale : 7.05(092) Designers Résumé : Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
TEXTE: Elien Haentjens
Même si Gaetana (Gae) Aulenti fut avant tout architecte, son nom est plutôt associé aux meubles et objets design. Ses luminaires, dont quelques modèles sont toujours produits, ont contribué à sa réputation. Elle a, en outre, conçu des mises en scène pour des expositions, le théâtre et l’opéra. Pourtant, elle demeure relativement méconnue du grand public, d’où le prix abordable de nombreuses pièces.
Même si elle est un peu plus jeune que Charlotte Perriand et Eileen Gray, Gae Aulenti (1927-2012) appartient à la première génération des créatrices qui, en tant que pionnières, ont percé dans une discipline dominée par les hommes. Poussée par un besoin de voyager et de découvertes, Gae Aulenti choisit d’étudier les arts plastiques à Florence jusqu’à ce que survienne la Seconde Guerre mondiale. « À l’époque, elle était active dans la résistance », raconte Nina Bassoli, commissaire pour l’Architecture et le renouveau urbain à la Triennale de Milan. « Mue par cet engagement et sa soif de liberté, après la guerre, elle quitte la région du Frioul-Venise pour s’installer à Milan où elle étudie l’architecture à l’Université Polytechnique. Elle souhaite ainsi contribuer à la reconstruction du pays. » La Triennale de Milan joua un rôle majeur dans la carrière de la créatrice ; elle y exposa régulièrement et remporta plusieurs prix. Depuis 2007, c’est devenu un musée permanent et, cet automne, le lieu d’une première grande rétrospective organisée par Nina Bassoli, en collaboration avec le critique d’art Giovanni Agosti et Nina Artioli, directrice de l’Archivio Gae Aulenti et petite-fille de l’artiste.