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Sciences du Design / Vial, Stéphane (1975-....) . N°17(mai 2023)Design urbains et territoiresMention de date : 2023-05-01 Paru le : 01/05/2023 |
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N°17(mai 2023) - 2023-05-01 - Design urbains et territoires [texte imprimé] . - 2023. Sciences du Design devient une revue en libre accès intégral immédiat ! https://www.cairn.info/revue-sciences-du-design-2023-1.htm Langues : Français (fre)
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SL 27879 | Sciences du Design | Fascicule | ESA Saint-Luc | Beaux-Arts - Biblio | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierLes Nouveaux Territoires des Designs Urbains / Smail Khainnar ; Catherine Elsen ; Thomas Watkin in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Les Nouveaux Territoires des Designs Urbains Type de document : texte imprimé Auteurs : Smail Khainnar, Auteur ; Catherine Elsen, Auteur ; Thomas Watkin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 8-15 Langues : Français (fre) Catégories : Design -- Aspect social -- Recherche
Design urbain -- Recherche
Projets d'urbanisme -- Philosophie
Sémantique
Territorialité humaineIndex. décimale : 7.05 Design industriel Note de contenu : Plan :
Les designs urbains peuvent-ils se faire inhospitaliers ?
En quoi l’« urbain » et le « territoire » transformeraient-ils l’agentivité du designer ?
Quel(s) rôle(s) pour le codesign « cartographique » dans l’appréhension des territoires urbains ?En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0008
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 8-15[article] Les Nouveaux Territoires des Designs Urbains [texte imprimé] / Smail Khainnar, Auteur ; Catherine Elsen, Auteur ; Thomas Watkin, Auteur . - 2023 . - P. 8-15.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 8-15
Catégories : Design -- Aspect social -- Recherche
Design urbain -- Recherche
Projets d'urbanisme -- Philosophie
Sémantique
Territorialité humaineIndex. décimale : 7.05 Design industriel Note de contenu : Plan :
Les designs urbains peuvent-ils se faire inhospitaliers ?
En quoi l’« urbain » et le « territoire » transformeraient-ils l’agentivité du designer ?
Quel(s) rôle(s) pour le codesign « cartographique » dans l’appréhension des territoires urbains ?En ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0008 Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles / Marie Trossat in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Trossat, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 16-37 Langues : Français (fre) Catégories : Centres d'accueil pour demandeurs d'asile -- Bruxelles (Belgique)
Design urbain -- Participation des citoyens -- Bruxelles (Belgique)
Écologie urbaine -- Bruxelles (Belgique) -- Aspect social
Hospitalité
Parcs -- Aménagement -- Bruxelles (Belgique)
Vivre-ensembleIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Questionnant les définitions théoriques et appliquées de l’écologie notamment par celle de l’« écologie humaine » des premièr·e·s sociologues de l’École de Chicago, cet article propose d’étudier les dynamiques à l’œuvre dans le Quartier Nord de Bruxelles. Plus spécifiquement, l’article se base sur le récit de la transformation du Parc Maximilien : parc dédié depuis 2015 à l’accueil de nouveaux·elles arrivant·e·s en situation de précarité et destiné à se transformer en une ferme urbaine. Par le récit saisissant les intentions des différent·e·s acteur·rice·s de la production urbaine, le sort et les problèmes des publics habitant et occupant, l’article met en lumière l’exclusion dont ces publics font l’objet par le discours, le programme et l’enquête. Si l’ethnographie menée révèle les failles de l’instrumentalisation du discours écologique, participatif et consensuel de la pensée urbanistique contemporaine, elle ouvre cependant sur une autre perspective de l’écologie : à la fois, urbaine, plurielle et prometteuse d’une conception hospitalière de la ville. Note de contenu : Plan :
1. — Cadre méthodologique et éléments repères
1.1. — Méthode
1.2. — Le Quartier Nord, quelques éléments-repères
2. — D’une vision plurielle de l’écologie
2.1. — La participation comme principe écologique de l’hospitalité
2.2. — Les « non » et les « sans »
3. — Le Parc Maximilien : une écologie de la ville du « sans »
3.1. — Du sans-abrisme migrant
3.2. — J’ai du mal à l’accepter, mais je sais que je fais partie du problème
4. — Faire la ville sans, ou la ville contre ?
4.1. — Architecture défensive, faune et flore contre migrant·e·s ?
4.2. — L’exclusion par le discours, le programme et l’enquête
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0016
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 16-37[article] Faire la ville sans, ou l’exclusion par le motif environnemental. Étude des manières de faire la ville dans le Quartier Nord de Bruxelles [texte imprimé] / Marie Trossat, Auteur . - 2023 . - P. 16-37.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 16-37
Catégories : Centres d'accueil pour demandeurs d'asile -- Bruxelles (Belgique)
Design urbain -- Participation des citoyens -- Bruxelles (Belgique)
Écologie urbaine -- Bruxelles (Belgique) -- Aspect social
Hospitalité
Parcs -- Aménagement -- Bruxelles (Belgique)
Vivre-ensembleIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Questionnant les définitions théoriques et appliquées de l’écologie notamment par celle de l’« écologie humaine » des premièr·e·s sociologues de l’École de Chicago, cet article propose d’étudier les dynamiques à l’œuvre dans le Quartier Nord de Bruxelles. Plus spécifiquement, l’article se base sur le récit de la transformation du Parc Maximilien : parc dédié depuis 2015 à l’accueil de nouveaux·elles arrivant·e·s en situation de précarité et destiné à se transformer en une ferme urbaine. Par le récit saisissant les intentions des différent·e·s acteur·rice·s de la production urbaine, le sort et les problèmes des publics habitant et occupant, l’article met en lumière l’exclusion dont ces publics font l’objet par le discours, le programme et l’enquête. Si l’ethnographie menée révèle les failles de l’instrumentalisation du discours écologique, participatif et consensuel de la pensée urbanistique contemporaine, elle ouvre cependant sur une autre perspective de l’écologie : à la fois, urbaine, plurielle et prometteuse d’une conception hospitalière de la ville. Note de contenu : Plan :
1. — Cadre méthodologique et éléments repères
1.1. — Méthode
1.2. — Le Quartier Nord, quelques éléments-repères
2. — D’une vision plurielle de l’écologie
2.1. — La participation comme principe écologique de l’hospitalité
2.2. — Les « non » et les « sans »
3. — Le Parc Maximilien : une écologie de la ville du « sans »
3.1. — Du sans-abrisme migrant
3.2. — J’ai du mal à l’accepter, mais je sais que je fais partie du problème
4. — Faire la ville sans, ou la ville contre ?
4.1. — Architecture défensive, faune et flore contre migrant·e·s ?
4.2. — L’exclusion par le discours, le programme et l’enquête
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0016 Le design urbain : un dispositif disciplinaire et sécuritaire « interstitiel » ? / Joffrey Paillard in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Le design urbain : un dispositif disciplinaire et sécuritaire « interstitiel » ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Joffrey Paillard, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 38-62 Langues : Français (fre) Catégories : Design urbain -- Contrôle de l'État -- Paris (France)
Design urbain -- Critique et interprétation
Hostilité (psychologie)
Pouvoir (sciences sociales) -- Aspect symboliqueIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Si l’interstice urbain est souvent considéré comme un espace des « possibles », voire « politique » et de « résistance », nous aimerions soumettre l’idée qu’il peut également se moduler en un « micro-espace de pouvoir ». Pour cet article, nous avons souhaité renverser cette dialectique pour questionner et commencer une critique spatiale et urbaine de la ville comme milieu de vie normé, normalisé et normalisant. L’interstice sera à comprendre comme une intervention discrète de design urbain sur le territoire habité permettant potentiellement un contrôle, une régulation, une disciplinarisation des comportements et des conduites au sein de l’espace public. Note de contenu : Plan :
1. — Des designs urbains et des territoires : quelle(s) spécificité(s) pour la pratique et l’expérience de la ville ?
2. — L’interstice urbain comme outil et manifestation du pouvoir
3. — Discussion des résultats : entre domination et appropriation de l’espace urbain
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0038
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 38-62[article] Le design urbain : un dispositif disciplinaire et sécuritaire « interstitiel » ? [texte imprimé] / Joffrey Paillard, Auteur . - 2023 . - P. 38-62.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 38-62
Catégories : Design urbain -- Contrôle de l'État -- Paris (France)
Design urbain -- Critique et interprétation
Hostilité (psychologie)
Pouvoir (sciences sociales) -- Aspect symboliqueIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Si l’interstice urbain est souvent considéré comme un espace des « possibles », voire « politique » et de « résistance », nous aimerions soumettre l’idée qu’il peut également se moduler en un « micro-espace de pouvoir ». Pour cet article, nous avons souhaité renverser cette dialectique pour questionner et commencer une critique spatiale et urbaine de la ville comme milieu de vie normé, normalisé et normalisant. L’interstice sera à comprendre comme une intervention discrète de design urbain sur le territoire habité permettant potentiellement un contrôle, une régulation, une disciplinarisation des comportements et des conduites au sein de l’espace public. Note de contenu : Plan :
1. — Des designs urbains et des territoires : quelle(s) spécificité(s) pour la pratique et l’expérience de la ville ?
2. — L’interstice urbain comme outil et manifestation du pouvoir
3. — Discussion des résultats : entre domination et appropriation de l’espace urbain
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0038 Le design agent de liaison : retour sur une formation en design des politiques publiques au sein des collectivités territoriales / Emma Kamoun ; Jonathan Denuit in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Le design agent de liaison : retour sur une formation en design des politiques publiques au sein des collectivités territoriales Type de document : texte imprimé Auteurs : Emma Kamoun, Auteur ; Jonathan Denuit, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 64-81 Langues : Français (fre) Catégories : Design urbain -- Aspect social -- France -- 21e siècle
Design urbain -- Formation des fonctionnaires -- France -- 21e siècle
Design urbain -- Politique publique -- France -- 21e siècleIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : La fabrique urbaine des territoires dépend du bon fonctionnement des services publics et d’une implication volontaire et engagée des habitant·e·s, et non pas simplement de leur adhésion. Nous souhaitons montrer que la réponse du design dans ce processus de fabrique des territoires ne s’exprime pas uniquement sur le plan spatial, mais également sur le plan relationnel, entre les élu·e·s qui votent les politiques publiques, les agent·e·s des administrations publiques qui les implémentent et les habitant·e·s qui en bénéficient (ou les subissent).
Cet article présente une recherche en cours à propos d’une formation en design des politiques publiques et a pour objectif d’aborder trois questions :
Qu’est-ce que cela implique pour les apprenant·e·s de se former à travailler sur des problématiques d’innovation sociale, tout en étant en immersion dans les territoires d’intervention future ? Quelles conséquences cette immersion a-t-elle pu avoir sur les agent·e·s territoriaux·ales impliqué·e·s dans cette formation in situ ? Comment l’approche sensible du terrain portée par les designers dans les territoires peut-elle potentiellement contribuer à renforcer une démarche plus démocratique des politiques publiques ?
Le but de cette démarche est de montrer par quels moyens le design devient agent de liaison entre les habitant·e·s et les collectivités territoriales.Note de contenu : Plan :
1. — Évolution du cadre de l’action publique et des aspirations des designers
2. — Une formation « hors les murs »
2.1. — Méthodologie d’étude de la formation
2.2. — Genèse et évolution du format de la formation
2.3. — Projet « main à main » : concrétisation d’une démarche de design
3. — Un maillage relationnel au service des habitant·e·s
4. — Quelques enseignements et perspectives
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0064
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 64-81[article] Le design agent de liaison : retour sur une formation en design des politiques publiques au sein des collectivités territoriales [texte imprimé] / Emma Kamoun, Auteur ; Jonathan Denuit, Auteur . - 2023 . - P. 64-81.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 64-81
Catégories : Design urbain -- Aspect social -- France -- 21e siècle
Design urbain -- Formation des fonctionnaires -- France -- 21e siècle
Design urbain -- Politique publique -- France -- 21e siècleIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : La fabrique urbaine des territoires dépend du bon fonctionnement des services publics et d’une implication volontaire et engagée des habitant·e·s, et non pas simplement de leur adhésion. Nous souhaitons montrer que la réponse du design dans ce processus de fabrique des territoires ne s’exprime pas uniquement sur le plan spatial, mais également sur le plan relationnel, entre les élu·e·s qui votent les politiques publiques, les agent·e·s des administrations publiques qui les implémentent et les habitant·e·s qui en bénéficient (ou les subissent).
Cet article présente une recherche en cours à propos d’une formation en design des politiques publiques et a pour objectif d’aborder trois questions :
Qu’est-ce que cela implique pour les apprenant·e·s de se former à travailler sur des problématiques d’innovation sociale, tout en étant en immersion dans les territoires d’intervention future ? Quelles conséquences cette immersion a-t-elle pu avoir sur les agent·e·s territoriaux·ales impliqué·e·s dans cette formation in situ ? Comment l’approche sensible du terrain portée par les designers dans les territoires peut-elle potentiellement contribuer à renforcer une démarche plus démocratique des politiques publiques ?
Le but de cette démarche est de montrer par quels moyens le design devient agent de liaison entre les habitant·e·s et les collectivités territoriales.Note de contenu : Plan :
1. — Évolution du cadre de l’action publique et des aspirations des designers
2. — Une formation « hors les murs »
2.1. — Méthodologie d’étude de la formation
2.2. — Genèse et évolution du format de la formation
2.3. — Projet « main à main » : concrétisation d’une démarche de design
3. — Un maillage relationnel au service des habitant·e·s
4. — Quelques enseignements et perspectives
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0064 Le design à l’épreuve du territoire : pratiques exploratoires et métiers émergents / Stéphanie Hémon ; Annie Gentès ; Dominique Bessières in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Le design à l’épreuve du territoire : pratiques exploratoires et métiers émergents Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Hémon, Auteur ; Annie Gentès (19..-....), Auteur ; Dominique Bessières, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 82-100 Langues : Français (fre) Catégories : Aménagement du territoire -- Polysémie
Aménagement du territoire -- Recherche
Design urbain -- Recherche
Designers -- Enquêtes
Grounded theory
InterdisciplinaritéIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Cet article présente une enquête exploratoire qualitative réalisée auprès de 15 designers qui revendiquent un travail « avec/sur/pour » les territoires (dans leurs propos, sur leur site Internet, dans leur titre) en rapport avec une commande publique (appels à projets, appels d’offres, demandes de leur direction pour les designers intégrés). Menée selon la méthodologie de la grounded theory, cette enquête qualitative nous a permis de faire apparaître, derrière l’apparente évidence de l’expression, une diversité de sens. Notre analyse de la polysémie a mis en lumière non seulement la pluridisciplinarité du « design de territoire », mais aussi les « méta-caractéristiques » liées à des savoirs transversaux et à l’usage de médiums d’expression permettant de confirmer l’importance de la participation et des médiations visuelles. Ces dernières permettent de prendre du recul et de faire croiser les différentes dimensions du territoire. Cette analyse nous a aussi permis de mettre en évidence que ce « flou » fragilise leurs postures professionnelles. Les designers mettent alors en place des stratégies de professionnalisation, d’une part en se regroupant dans des associations et, d’autre part, en revendiquant des valeurs qui définissent les propriétés des dispositifs à atteindre. Enfin, l’analyse de ce champ du design nous a permis de mettre en lumière une zone de transition à la fois verticale et horizontale, locale et globale entre plusieurs écosystèmes. Note de contenu : Plan :
1. — Cadre méthodologique de la recherche
2. — Résultats
2.1. — Une diversité de sens
2.2. — Une diversité de pratiques
3. — Discussion
3.1. — La polysémie : ses avantages pour une pratique « hors cadre »
3.2. — La polysémie : Un « flou » qui déstabilise
3.3. — Une volonté de professionnalisation
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0082
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 82-100[article] Le design à l’épreuve du territoire : pratiques exploratoires et métiers émergents [texte imprimé] / Stéphanie Hémon, Auteur ; Annie Gentès (19..-....), Auteur ; Dominique Bessières, Auteur . - 2023 . - P. 82-100.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 82-100
Catégories : Aménagement du territoire -- Polysémie
Aménagement du territoire -- Recherche
Design urbain -- Recherche
Designers -- Enquêtes
Grounded theory
InterdisciplinaritéIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Cet article présente une enquête exploratoire qualitative réalisée auprès de 15 designers qui revendiquent un travail « avec/sur/pour » les territoires (dans leurs propos, sur leur site Internet, dans leur titre) en rapport avec une commande publique (appels à projets, appels d’offres, demandes de leur direction pour les designers intégrés). Menée selon la méthodologie de la grounded theory, cette enquête qualitative nous a permis de faire apparaître, derrière l’apparente évidence de l’expression, une diversité de sens. Notre analyse de la polysémie a mis en lumière non seulement la pluridisciplinarité du « design de territoire », mais aussi les « méta-caractéristiques » liées à des savoirs transversaux et à l’usage de médiums d’expression permettant de confirmer l’importance de la participation et des médiations visuelles. Ces dernières permettent de prendre du recul et de faire croiser les différentes dimensions du territoire. Cette analyse nous a aussi permis de mettre en évidence que ce « flou » fragilise leurs postures professionnelles. Les designers mettent alors en place des stratégies de professionnalisation, d’une part en se regroupant dans des associations et, d’autre part, en revendiquant des valeurs qui définissent les propriétés des dispositifs à atteindre. Enfin, l’analyse de ce champ du design nous a permis de mettre en lumière une zone de transition à la fois verticale et horizontale, locale et globale entre plusieurs écosystèmes. Note de contenu : Plan :
1. — Cadre méthodologique de la recherche
2. — Résultats
2.1. — Une diversité de sens
2.2. — Une diversité de pratiques
3. — Discussion
3.1. — La polysémie : ses avantages pour une pratique « hors cadre »
3.2. — La polysémie : Un « flou » qui déstabilise
3.3. — Une volonté de professionnalisation
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0082 La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration / Margot Laudoux in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration Type de document : texte imprimé Auteurs : Margot Laudoux, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 102-120 Langues : Français (fre) Catégories : Activités créatrices et manuelles -- Aspect social
Cartographie
Géographie sociale -- France -- 21e siècle
Hospitalité
Participation sociale
Recherche-action
Réfugiés -- Aspect social -- France -- 21e siècle
Sciences sociales -- Méthodologie
Vivre-ensembleRésumé : La cartographie sensible et narrative sous forme d’ateliers participatifs permet aux cohabitants, dont des personnes en situation d’exil, de s’exprimer mais aussi de se réapproprier leur propre espace-temps qui ne leur appartenait plus jusqu’ici. De plus, ces ateliers, initiés par un designer devenu initiateur, passerelle et médiateur, questionnent l’utilisation des données issues du sensible et de la création cartographique dans les différentes disciplines des sciences sociales. Représenter le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration permet également d’interroger la possibilité d’un agir-ensemble collectif et de désurbaniser les regards portés sur le phénomène migratoire. Finalement, il s’agit de questionner la construction d’inter-cartes comme représentation d’un ici et maintenant hospitalier à partir de l’espace-vécu de l’ensemble des cohabitants d’un territoire, ici la commune d’Ambert dans le Puy-de-Dôme. Note de contenu : Plan :
1. — L’inter-carte comme représentation du vivre-ensemble sur un territoire
1.1. — Une méthode d’enquête exploratoire participative
1.2. — Rendre visible et tangible la voix de ceux qui n’en ont plus
1.3. — Méthodologie de l’inter-carte
2. — La cartographie sensible participative comme outil d’inclusion, voire de contre-pouvoir
2.1. — La carte et la cartographie comme système de dialogue
2.2. — Les ateliers comme potentiel agir-ensemble sur un territoire
3. — L’inter-carte comme construction de savoirs in situ
3.1. — La cartographie comme création documentaire d’un ici et maintenant commun
3.2. — Une recherche-expérimentation transdisciplinaire, voire indisciplinaire
3.3. — Une construction de savoirs participative, indisciplinaire et alternative
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0102
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 102-120[article] La création d’inter-cartes comme méthode d’enquête sur le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration [texte imprimé] / Margot Laudoux, Auteur . - 2023 . - P. 102-120.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 102-120
Catégories : Activités créatrices et manuelles -- Aspect social
Cartographie
Géographie sociale -- France -- 21e siècle
Hospitalité
Participation sociale
Recherche-action
Réfugiés -- Aspect social -- France -- 21e siècle
Sciences sociales -- Méthodologie
Vivre-ensembleRésumé : La cartographie sensible et narrative sous forme d’ateliers participatifs permet aux cohabitants, dont des personnes en situation d’exil, de s’exprimer mais aussi de se réapproprier leur propre espace-temps qui ne leur appartenait plus jusqu’ici. De plus, ces ateliers, initiés par un designer devenu initiateur, passerelle et médiateur, questionnent l’utilisation des données issues du sensible et de la création cartographique dans les différentes disciplines des sciences sociales. Représenter le vivre-ensemble d’un petit milieu d’intégration permet également d’interroger la possibilité d’un agir-ensemble collectif et de désurbaniser les regards portés sur le phénomène migratoire. Finalement, il s’agit de questionner la construction d’inter-cartes comme représentation d’un ici et maintenant hospitalier à partir de l’espace-vécu de l’ensemble des cohabitants d’un territoire, ici la commune d’Ambert dans le Puy-de-Dôme. Note de contenu : Plan :
1. — L’inter-carte comme représentation du vivre-ensemble sur un territoire
1.1. — Une méthode d’enquête exploratoire participative
1.2. — Rendre visible et tangible la voix de ceux qui n’en ont plus
1.3. — Méthodologie de l’inter-carte
2. — La cartographie sensible participative comme outil d’inclusion, voire de contre-pouvoir
2.1. — La carte et la cartographie comme système de dialogue
2.2. — Les ateliers comme potentiel agir-ensemble sur un territoire
3. — L’inter-carte comme construction de savoirs in situ
3.1. — La cartographie comme création documentaire d’un ici et maintenant commun
3.2. — Une recherche-expérimentation transdisciplinaire, voire indisciplinaire
3.3. — Une construction de savoirs participative, indisciplinaire et alternative
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0102 Les lieux de design : une cartographie de la métropole de Montpellier par la recherche-projet / Thomas Watkin ; Belinda Redondo in Sciences du Design, N°17(mai 2023) (2023-05-01)
[article]
Titre : Les lieux de design : une cartographie de la métropole de Montpellier par la recherche-projet Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Watkin, Auteur ; Belinda Redondo, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : P. 122-145 Langues : Français (fre) Catégories : Aménagement du territoire -- Recherche
Architecture et société -- Montpellier (Hérault, France) -- 21e siècle
Design urbain -- Montpellier (Hérault, France) -- Cartes -- 21e siècle
Enquêtes sociologiques -- MéthodologieIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Cette contribution fait état d’une expérience de recherche-projet portant sur les rapports entre design et métropole et rendue apparente par la production d’une cartographie des « lieux de design ». La cartographie s’est avérée devenir un espace d’action pertinent de la représentation du design de la métropole de Montpellier. Il permet d’élargir le spectre que recouvre l’hybridité du design en représentant graphiquement, sur un média tangible, la pluralité des types de projets rarement identifiés dans un même ensemble. L’exposition de cartes résultant de cette recherche-projet renforce ainsi l’appropriation collective d’une image métropolitaine. Note de contenu : Plan :
1. — Quel(s) design(s) dans la métropole montpelliéraine ?
1.1. — Une empreinte forte d’objets architecturaux et urbains
1.2. — Une pluralité des formes de design
2. — Mener une enquête exploratoire sur les lieux de design
2.1. — Un cadre de recherche-projet et un positionnement
2.2. — Une démarche empirique entre participation et observation
2.3. — Une collecte de données composites
3. — Cartographier les lieux de design
3.1. — L’identification de projets de design à partir de critères
3.2. — Des projets de design aux lieux de design
3.3. — Processus expérientiel : le temps de l’exposition
4. — Vers quels espaces d’action de la cartographie ?
4.1. — Apports des résultats
4.2. — Limites de la méthodologie
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0122
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 122-145[article] Les lieux de design : une cartographie de la métropole de Montpellier par la recherche-projet [texte imprimé] / Thomas Watkin, Auteur ; Belinda Redondo, Auteur . - 2023 . - P. 122-145.
Langues : Français (fre)
in Sciences du Design > N°17(mai 2023) (2023-05-01) . - P. 122-145
Catégories : Aménagement du territoire -- Recherche
Architecture et société -- Montpellier (Hérault, France) -- 21e siècle
Design urbain -- Montpellier (Hérault, France) -- Cartes -- 21e siècle
Enquêtes sociologiques -- MéthodologieIndex. décimale : 7.05 Design industriel Résumé : Cette contribution fait état d’une expérience de recherche-projet portant sur les rapports entre design et métropole et rendue apparente par la production d’une cartographie des « lieux de design ». La cartographie s’est avérée devenir un espace d’action pertinent de la représentation du design de la métropole de Montpellier. Il permet d’élargir le spectre que recouvre l’hybridité du design en représentant graphiquement, sur un média tangible, la pluralité des types de projets rarement identifiés dans un même ensemble. L’exposition de cartes résultant de cette recherche-projet renforce ainsi l’appropriation collective d’une image métropolitaine. Note de contenu : Plan :
1. — Quel(s) design(s) dans la métropole montpelliéraine ?
1.1. — Une empreinte forte d’objets architecturaux et urbains
1.2. — Une pluralité des formes de design
2. — Mener une enquête exploratoire sur les lieux de design
2.1. — Un cadre de recherche-projet et un positionnement
2.2. — Une démarche empirique entre participation et observation
2.3. — Une collecte de données composites
3. — Cartographier les lieux de design
3.1. — L’identification de projets de design à partir de critères
3.2. — Des projets de design aux lieux de design
3.3. — Processus expérientiel : le temps de l’exposition
4. — Vers quels espaces d’action de la cartographie ?
4.1. — Apports des résultats
4.2. — Limites de la méthodologie
ConclusionEn ligne : https://doi.org/10.3917/sdd.017.0122