Titre : |
Impressionnisme : les origines 1859-1869 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Henri Loyrette (1952-....), Auteur ; Gary Tinterow, Auteur ; Réunion des musées nationaux (France), Editeur scientifique ; Metropolitan museum of art (New York, N.Y.), Editeur scientifique |
Editeur : |
Paris : Ed. de la Réunion des musées nationaux |
Année de publication : |
1994 |
Importance : |
476 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
32 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7118-2820-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Impressionnisme (peinture) -- Catalogues d'exposition Peinture -- 19e siècle -- Catalogues d'exposition Peinture -- France -- 19e siècle -- Catalogues d'exposition
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Index. décimale : |
7.036 Art du XIXe siècle |
Résumé : |
En 1869, les prémisses de ce que l'on nommera à partir de 1874 "impressionnisme", sont déjà en place. Tel est le propos de cette première manifestation consacrée aux origines de l'impressionnisme.
En regroupant de nombreuses oeuvres de jeunes peintres : Monet, Renoir, Pissarro et Bazille d'une part, Manet, Degas et Fantin-Latour d'autre part, l'exposition a montré pour la première fois, la diversité des courants et des influences qui ont conduit à l'impressionnisme.
Constituée d'environ 180 oeuvres, cette exposition propose également des tableaux de Boudin, Cézanne, Courbet, Daubigny, Puvis de Chavannes, Tissot, Whistler... prêtés par des collections publiques et privées d'Europe et d'Amérique du Nord.
C'est en 1859, l'année où Baudelaire fait pour la dernière fois sa chronique du Salon et où Delacroix expose ses toiles, que l'on peut situer les débuts de l' "impressionnisme" : Monet et Pissarro inaugurent alors une ère nouvelle, revendiquent un art "affranchi du ligotage officiel des Ecoles" selon l'expression de J.-K. Huysmans.
L'exposition a analysé le travail de ces artistes, trop souvent associé au seul paysage : peinture d'histoire, portrait, nu, nature morte, scènes de la vie quotidienne et apologie des sujets contemporains deviendront leur apanage.
Le renouvellement des thèmes a suscité une autre manière de peindre, combinant les audaces de la composition et la liberté de la touche.
En dix ans, une poignée d'artistes d'origines et de milieux divers, formant un mouvement disparate et mouvant, ont prolongé la leçon de Courbet et des réalistes, insufflé le sentiment de la modernité et organisé "la plus belle époque de l'art".
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Impressionnisme : les origines 1859-1869 [texte imprimé] / Henri Loyrette (1952-....), Auteur ; Gary Tinterow, Auteur ; Réunion des musées nationaux (France), Editeur scientifique ; Metropolitan museum of art (New York, N.Y.), Editeur scientifique . - Paris : Ed. de la Réunion des musées nationaux, 1994 . - 476 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 32 cm. ISBN : 978-2-7118-2820-3 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Impressionnisme (peinture) -- Catalogues d'exposition Peinture -- 19e siècle -- Catalogues d'exposition Peinture -- France -- 19e siècle -- Catalogues d'exposition
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Index. décimale : |
7.036 Art du XIXe siècle |
Résumé : |
En 1869, les prémisses de ce que l'on nommera à partir de 1874 "impressionnisme", sont déjà en place. Tel est le propos de cette première manifestation consacrée aux origines de l'impressionnisme.
En regroupant de nombreuses oeuvres de jeunes peintres : Monet, Renoir, Pissarro et Bazille d'une part, Manet, Degas et Fantin-Latour d'autre part, l'exposition a montré pour la première fois, la diversité des courants et des influences qui ont conduit à l'impressionnisme.
Constituée d'environ 180 oeuvres, cette exposition propose également des tableaux de Boudin, Cézanne, Courbet, Daubigny, Puvis de Chavannes, Tissot, Whistler... prêtés par des collections publiques et privées d'Europe et d'Amérique du Nord.
C'est en 1859, l'année où Baudelaire fait pour la dernière fois sa chronique du Salon et où Delacroix expose ses toiles, que l'on peut situer les débuts de l' "impressionnisme" : Monet et Pissarro inaugurent alors une ère nouvelle, revendiquent un art "affranchi du ligotage officiel des Ecoles" selon l'expression de J.-K. Huysmans.
L'exposition a analysé le travail de ces artistes, trop souvent associé au seul paysage : peinture d'histoire, portrait, nu, nature morte, scènes de la vie quotidienne et apologie des sujets contemporains deviendront leur apanage.
Le renouvellement des thèmes a suscité une autre manière de peindre, combinant les audaces de la composition et la liberté de la touche.
En dix ans, une poignée d'artistes d'origines et de milieux divers, formant un mouvement disparate et mouvant, ont prolongé la leçon de Courbet et des réalistes, insufflé le sentiment de la modernité et organisé "la plus belle époque de l'art".
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