Titre : |
Frans Masereel |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Luc Durtain, Auteur |
Editeur : |
PARIS : PIERRE VORMS |
Année de publication : |
1931 |
Importance : |
80 p., 79 planches |
Présentation : |
ill. en noir et blanc |
Format : |
28 cm |
Catégories : |
Gravure Masereel, Frans (1889 - 1972)
|
Index. décimale : |
761(092) Graveurs |
Note de contenu : |
Masereel (1889-1972) se trouve à Genève durant la Grande Guerre - et s'y engage dans la lutte contre la guerre, lutte sans efficacité face au déchaînement général. Dessins à l'encre et gravures sur bois sont ses instruments, les gravures étant réunies dans des recueils, Debout les morts, Les Morts parlent, qui sont autant de dénonciation sans équivoque du carnage.
Masereel simplifie, brutalise, oppose le noir au blanc.
Il traite des scènes prises aux journaux et à leurs clichés et, par un traitement graphique singulier, pousse jusqu'à l'insupportable la souffrance.
Ou il use d'un fantastique macabre: deux corps acéphales portent sur une civière leurs têtes, l'une coiffée du képi français, l'autre du casque allemand.
C'est folie de toute part, une folie contre laquelle Masereel se sait impuissant. |
Frans Masereel [texte imprimé] / Luc Durtain, Auteur . - PARIS : PIERRE VORMS, 1931 . - 80 p., 79 planches : ill. en noir et blanc ; 28 cm.
Catégories : |
Gravure Masereel, Frans (1889 - 1972)
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Index. décimale : |
761(092) Graveurs |
Note de contenu : |
Masereel (1889-1972) se trouve à Genève durant la Grande Guerre - et s'y engage dans la lutte contre la guerre, lutte sans efficacité face au déchaînement général. Dessins à l'encre et gravures sur bois sont ses instruments, les gravures étant réunies dans des recueils, Debout les morts, Les Morts parlent, qui sont autant de dénonciation sans équivoque du carnage.
Masereel simplifie, brutalise, oppose le noir au blanc.
Il traite des scènes prises aux journaux et à leurs clichés et, par un traitement graphique singulier, pousse jusqu'à l'insupportable la souffrance.
Ou il use d'un fantastique macabre: deux corps acéphales portent sur une civière leurs têtes, l'une coiffée du képi français, l'autre du casque allemand.
C'est folie de toute part, une folie contre laquelle Masereel se sait impuissant. |
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