Titre : |
Graffiti writing : Expressions manifestes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lokiss, Auteur |
Editeur : |
[Vanves] : Hazan |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
1 vol. (191 p.) |
Présentation : |
ill. en noir et blanc, ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
28 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7541-0949-9 |
Prix : |
27 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Art dans la rue Graffiti
|
Index. décimale : |
7.039 Art contemporain |
Résumé : |
Cet ouvrage se veut un état des lieux de la culture graffiti à travers le portrait vivant et dynamique de quinze artistes internationaux, réunis par Lokiss, figure historique du graffiti hexagonal.
En deux cents pages sont dévoilés les travaux en cours de ces artistes novateurs, qui se nomment volontiers writers, montrant la dynamique de cette culture sous toutes ses formes, même les plus éloignées, même les moins identifiables, rebelles aux catégories que la critique d’art leur associe parfois.
« Ce que le street art ne dit pas », formule provocatrice, ce livre le montrera. Le nommera.
Philippe Baudelocque, Proembrion, Keith K. Hopewell… Artistes parfois connus et déjà installés dans le monde de l’art contemporain, comme Boris Tellegen alias Delta, ou l’artiste français Lek qui réside à la Villa Médicis en 2016.Véritable manifeste visuel, l’ouvrage déploie un panorama vivant, varié et surtout contemporain de cette « écriture urbaine », à travers les quinze créations majoritairement murales faites pour ce projet.
Elles font l’objet, à chaque étape de leur réalisation, d’un décryptage photographique mis en pages et illustré par Lokiss lui-même.
Ce dernier suit le travail d’artistes qui ont chacun développé une écriture originale sur la scène européenne et au-delà. Leur langue est le writing.
Un vocabulaire qu’ils utilisent, pervertissent, recyclent, oublient tour à tour, pour créer une dynamique de formes inédite.L’urgence déclarée est d’entrer dans les brèches où l’histoire de l’art n’a jamais osé mettre les pieds – ces lieux périphériques – et de partir à la rencontre de ceux que l’on voit sans voir et qui ont pourtant marqué des générations entières d’artistes.
Dans ces chapelles souterraines, que le street art ne cultive pas, lui qui aime la lumière et, finalement, le conforme. |
Graffiti writing : Expressions manifestes [texte imprimé] / Lokiss, Auteur . - [Vanves] : Hazan, 2016 . - 1 vol. (191 p.) : ill. en noir et blanc, ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm. ISBN : 978-2-7541-0949-9 : 27 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Art dans la rue Graffiti
|
Index. décimale : |
7.039 Art contemporain |
Résumé : |
Cet ouvrage se veut un état des lieux de la culture graffiti à travers le portrait vivant et dynamique de quinze artistes internationaux, réunis par Lokiss, figure historique du graffiti hexagonal.
En deux cents pages sont dévoilés les travaux en cours de ces artistes novateurs, qui se nomment volontiers writers, montrant la dynamique de cette culture sous toutes ses formes, même les plus éloignées, même les moins identifiables, rebelles aux catégories que la critique d’art leur associe parfois.
« Ce que le street art ne dit pas », formule provocatrice, ce livre le montrera. Le nommera.
Philippe Baudelocque, Proembrion, Keith K. Hopewell… Artistes parfois connus et déjà installés dans le monde de l’art contemporain, comme Boris Tellegen alias Delta, ou l’artiste français Lek qui réside à la Villa Médicis en 2016.Véritable manifeste visuel, l’ouvrage déploie un panorama vivant, varié et surtout contemporain de cette « écriture urbaine », à travers les quinze créations majoritairement murales faites pour ce projet.
Elles font l’objet, à chaque étape de leur réalisation, d’un décryptage photographique mis en pages et illustré par Lokiss lui-même.
Ce dernier suit le travail d’artistes qui ont chacun développé une écriture originale sur la scène européenne et au-delà. Leur langue est le writing.
Un vocabulaire qu’ils utilisent, pervertissent, recyclent, oublient tour à tour, pour créer une dynamique de formes inédite.L’urgence déclarée est d’entrer dans les brèches où l’histoire de l’art n’a jamais osé mettre les pieds – ces lieux périphériques – et de partir à la rencontre de ceux que l’on voit sans voir et qui ont pourtant marqué des générations entières d’artistes.
Dans ces chapelles souterraines, que le street art ne cultive pas, lui qui aime la lumière et, finalement, le conforme. |
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